Les plus vus

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que le cinéma des débuts de Yórgos Lánthimos (The Lobster) était aussi fascinant que terrifiant.

Parce que Thomas Kruithof joue sur les codes du film de genre et virevolte entre les secrets d'Etat.

Parce que ce film a raflé pas moins de neuf Magritte, l'équivalent belge de nos César.

Parce que Dancer In The Dark a remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et Björk le prix d'interprétation féminine.

Parce que c'est le film de la consécration internationale de la cinéaste sino-américaine Chloé Zhao, entre fiction et documentaire.

Parce que Lars Von Trier a écrit ce film en pensant à Nicole Kidman, qu’il a convaincu de participer à cette aventure à l'esthétique radicale.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que c’est le film d’un réalisateur rare, d’un maitre espagnol du cinéma.

Parce que cette comédie romantique devenue culte tord joyeusement le cou aux stéréotypes.

Parce qu’une balade en forêt peut poser plus de questions qu’elle apporte de réponses.

Parce que l'équipe du film a pris conseil auprès d'un ancien ouvrier du nucléaire pour garantir la vraisemblance des descriptions du quotidien de la centrale.

Parce que Daniel Radcliffe prouve qu'il peut aussi être convaincant au rayon charme et comédie !

Parce que l'acteur argentin Ricardo Darin trouve ici une nouvelle occasion de montrer tout son talent.

Parce que le film a été tourné pendant la pandémie en 2021 dans un Madrid désert quasi surréel.

Parce que Juliette Binoche est éblouissante dans cette adaptation du roman homonyme de Camille Laurens, paru en 2016.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce que Christophe Gans l'a reconnu, le cinéaste Hayao Myazaki l'a inspiré pour son film.

Parce que le réalisateur de Drunk signe un splendide mélodrame.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce que l'intrigue mêle comédie et drame avec une touche de légèreté et d'originalité.

Parce que L’Amour est une fête montre les derniers instants de grâce du milieu du porno en France, avant l’apparition du Sida.

C'est le dernier film d'une figure attachante et originale du cinéma européen, Solveig Anspach.

Parce qu'on y retrouve un trio inédit qui va aller de situations délicates en révélations inattendues...

Parce que cette comédie va vous faire oublier vos pires vacances en couple !

Parce que c'est une grande histoire d'amour portée par une actrice d'exception, Saoirse Ronan, ici au sommet de son Art.

Parce que cette comédie romantique fonctionne à plusieurs niveaux : partant d’une fiction qui flirte avec le fantastique, elle donne à réfléchir sur les rapports hommes/femmes avec subtilité et émotion.

Parce que ce film est basé sur un texte de seulement 25 pages, ce qui amené le réalisateur à collaborer au scénario avec l'auteur de la nouvelle pour en développer l'histoire.

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Parce que le couple principal débute au cinéma : Karim El Hayani est un ancien boxeur et Faten Kesraoui a rencontré par hasard le réalisateur dans la rue.

Parce que trois des personnages du film sont bien connus des fans de Quentin Tarantino.

Parce que le film ne sombre jamais dans la vulgarité ou la facilité malgré le sujet délicat.

Parce que la chienne Lucy remporta au Festival de Cannes la prestigieuse... Palme Dog.

Parce qu’un road movie n’a jamais aussi bien porté son nom !

Parce que Larry Clark s'est inspiré d'une histoire vraie, un fait divers qui choquant et dérangeant

Parce que c'est le premier film hollywoodien qui romance sur une passion amoureuse homosexuelle adolescente.

Parce que ce film, basé sur une histoire vraie, se déroule dans les bas-fonds de l'industrie du X aux États-Unis.

Parce que voilà un exercice de style totalement fascinant : une fable absurde sur un monde (soit disant idéal) dont les artifices vont s’effondrer un à un.

Parce que c'est une comédie douce-amère sur la maternité et la place de la femme.

Parce qu’après le succès de Frances Ha, Noah Baumbach et Greta Gerwig poursuivent leur exploration d’un New-York intime et pop.

Parce que bien que datant de 2012, le film a été tourné en pellicule 35mm.

Parce que cette chronique adolescente gorgée de soleil rappelle que l’émancipation passe parfois par de simples vacances et une rencontre décisive.

Parce qu'Helen Hunt a reçu l'Oscar pour son rôle d'assistante sexuelle.

Pour le plaisir de retrouver Richard Linklater, le plus stakhanoviste des réalisateurs indépendants hollywoodiens, jamais là où on l'attend.

Parce qu'au-delà de la fiction, c'est un véritable plaidoyer pour les vins "nature".

Parce que ce film road-trip indie est devenu un succès surprise de l'année 2006.

Parce que Bob Dylan y est incarné par 6 acteurs différents (dont une femme).

Parce que Dancer In The Dark a remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et Björk le prix d'interprétation féminine.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que l'histoire est tirée des exploits de Dream Alliance, un cheval qui a changé la vie de sa propriétaire.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que Julie Gayet, actrice, productrice, féministe, fait face avec courage et talent à une problématique dont elle constate chaque jour les effets dans le milieu du cinéma.

Parce qu'il faut voir Emmanuelle Bercot dans le rôle qui lui a valu un prix d'interprétation à Cannes.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que ce premier film de Daniel Brühl est une comédie noire pleine de tensions et d'autodérision

Parce que les séquences finales alternent des plans purement documentaires dans lesquels ont été intégrés les passages de fiction.

Parce que le film de Jaume Balaguero, hommage à Fenêtre sur Cour, use du voyeurisme pour que le spectateur questionne tout ce qu'il voit.

Parce que c'est une odyssée éblouissante dans les limbes Tokyoïtes !

Parce que ce film argentin met en scène quatre octogénaires déchaînés !

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce que les films à fois drôles et engagés ne sont pas nombreux.

Parce que ce film israélien aborde le sujet tabou de l’euthanasie avec humour et émotion.

Parce que la fin du film montre des images des footballeuses du Stade Rémois, dont l'aventure bien réelle a nourri le scénario du film.

Parce que comme souvent dans le cinéma de Yerzhanov, c’est un film hanté : par le passé, par des esprits qui refusent de quitter le monde des vivants.

Parce que cette histoire vraie et passionnante raconte le combat d'un avocat contre un géant de l’industrie.

Parce que c’est à la fois le quasi-autoportrait de la première star aborigène de l’histoire du cinéma et une réflexion sur ce qu’est devenue l’Australie.

Parce qu'on aime la plongée dans la fin des fifties, de la province française aux buildings de New York.

Parce que Louis Talpe a réduit son IMC de 17 à 7 en moins de six semaines pour le film.

Parce que le film interprété et produit par Reese Witherspoon donne envie de partir loin dans les montagnes et de respirer le grand air.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que cette épopée sociale et féministe montre les réalités quotidiennes d’un pays, l’Arabie Saoudite, encore enraciné dans ses lois patriarcales.

Parce que le film s'inspire d'événements réels qui se sont produits lors de l'élection de Miss Monde en 1970.

Parce que Colin Farrell, Irlandais pur jus (contrairement à Cate Blanchett qui est Australienne), y fait une courte apparition.

Parce que ce thriller dénonce bruyamment et violemment les violences faites aux femmes amérindiennes aux États-Unis.

Parce que le film a suscité la polémique lors de sa projection à Cannes, spectateurs quittant la salle d’un côté, standing ovation de l’autre.

Parce que quelques années avant d'être révélé mondialement avec The Lobster, Yórgos Lánthimos éblouissait déjà.

Parce que le film s’inspire de faits réels survenus au XXe siècle.

Parce que quatre ans après la sortie du désormais grand classique Midsommar, Ari Aster soigne son retour avec un film absolument vertigineux.

Parce qu’avec ses éléments familiers, le scénario donne l’impression d’être en terrain connu, mais c’est pour mieux nous emmener dans des développements totalement imprévus.

Parce que Christopher MacBride s’inscrit dans le droit fil du Christopher Nolan de MEMENTO ou INCEPTION avec un film en forme de puzzle qui joue avec la réalité.

Parce que ce n’est pas tous les jours qu’on trouve un film avec des zombies, une prof qui joue du ukulélé et même du Taylor Swift.

Parce que le pitch est complètement délirant : un tueur en série se met à décapiter des réalisateurs iraniens. Sauf un...

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que Carter Smith prouve que le cinéma d’horreur indépendant a encore de belles heures devant lui.

Parce que les cinéastes s'inspirent de l'esthétique des films Disney pour proposer un conte moderne sur des thèmes tels que le désir sexuel et la métamorphose du corps.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que ce mal aimé remake de Tim Burton porte malgré tout la patte du réalisateur.

Parce que ce film entre la science-fiction et le polar offre un rôle sur mesure à Guy Pearce.

Parce que c'est un huis clos sobre et accrocheur, aux personnages humains et complexes.

Parce que cette histoire digne des frères Coen fait passer les aventures de Very Bad Trip pour une soirée Monopoly-tisane.

Parce qu'il faudrait être maso pour ne pas vouloir voir une comédie ébouriffante sur fond de SM.

Parce qu'Anthony Hopkins cède la place à Gaspard Ulliel, après avoir interprété à trois reprises Hannibal le cannibale.

Parce qu'il s'agit sans aucun doute du plus beau rôle de Kristen Stewart, qui est de toutes les scènes, et même de tous les plans.

Parce que les prouesses techniques qui vont jusqu'à contrôler le clignement des yeux de l’héroïne.

Parce que ce huis-clos angoissant est une incroyable réussite, un cauchemar rempli de surprises et de rebondissements ahurissants.

Parce que cette adaptation du roman graphique "I Kill Giants" pose un regard bouleversant sur l'adolescence et ses traumatismes.

Parce que le film parvient à renouveler le genre de la comédie familiale douce-amère

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce que c’est la double vie d’une jeune fille dans un pays tiraillé entre conservatisme et désirs contemporains.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que cette fable émancipatrice milite pour la scolarisation des femmes indiennes.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que cette petite merveille indépendant a reçu le Grand Prix au Festival du cinéma américain de Deauville 2002.

Parce que c'est une histoire presque vraie, celle de la réalisatrice, et de son apprentissage de l'injustice.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que l'idée de ce thriller horrifique percute avec bonheur le style visuel unique de la dessinatrice.

Parce que c'est un survival en milieu urbain ultra nerveux qui va vous couper le souffle.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

Parce que Thomas Kruithof joue sur les codes du film de genre et virevolte entre les secrets d'Etat.

Parce que mettre un moine et un cadavre au milieu des puissants de ce monde est un bon point de départ pour une enquête policière.

Parce que c’est la preuve qu’une excellente série télévisée peut inspirer un excellent film, c’est loin d’être toujours le cas !

Parce qu'il fallait bien une comédie noire pour dissiper les écrans de fumée du lobby du tabac.

Parce que c’est une plongée envoûtante au coeur de la terrible guerre civile espagnole par le réalisateur d’Ouvre les yeux et Les autres.

Parce qu'Icíar Bollaín a commencé sa carrière comme actrice chez Ken Loach, une influence qui se retrouve dans son engagement et sa façon d'aborder des sujets d'actualité.

Parce que c’est le film mésestimé d’un cinéaste de légende.

Parce que cette comédie entraînante aborde le sujet très sérieux de la pollution industrielle.

Parce que les étendues brésiliennes offrent un décor à la fois exotique et oppressant à ce véritable thriller social...

Parce que voilà une occasion rêvée de découvrir la nouvelle génération du cinéma roumain, incarnée ici par le réalisateur Radu Jude, ancien assistant de Costa-Gavras).

Parce qu'on peut rire de tout, même de sujets d'actualité graves tels que celui des réfugiés.

Parce que ce thriller politique élégant a pour vedette Ricardo Darín, l’acteur argentin que tout le cinéma hispanophone s’arrache (à raison).

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que la pureté de la relation humaniste entre un père et son fils y est représentée.

Parce que c'est ce qu'on appelle un film coup de poing.

Parce que la silhouette qui ouvre et ferme le film est bien celle de Lilian Hellman herself!

Parce que Catherine Frot est définitivement l'une de nos plus grandes actrices-autrices.

Parce que Lars Von Trier a écrit ce film en pensant à Nicole Kidman, qu’il a convaincu de participer à cette aventure à l'esthétique radicale.

Parce que Gonzalo Tobal réussit un thriller judiciaire et familial haletant.

Parce que ce film puissant trouve un écho troublant avec le monde contemporain en montrant comment des femmes innocentes ont pu être persécutées.

Parce que Zahia Dehar a des accents de Brigitte Bardot dans ce film d'été.

Parce que le premier film de Pilar Palomero fut récompensé de deux Goyas, équivalents espagnols des César.

Parce que la présence éblouissante de Natalie Portman tient un grand récit sur le pouvoir et les dangers de l’illusion.

Parce que ce film sur la rébellion adolescente révéla Clara Roquet en tant que réalisatrice.

Parce que cette exploration fantasmé en compagnie d’une actrice rappelle Mulholland Drive et Millenium Actress.

Parce que Julianne Moore y chante du Olivia Newton-John.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que ce drame familial prend parfois des accents de thriller hitchockien

Parce que présenté au Festival international du film de Berlin en 2013, l'actrice Paulina García a remporté l'Ours d'argent de la meilleure actrice.

Parce que le Printemps arabe a fait fleurir des films puissants comme La Belle et la Meute.

Parce que c'est une belle ode à l'indépendance et un modèle de comédie réussie.

Parce que Dégradé montre la vie des palestiniennes à Gaza.

Parce qu'avec Her Job, le cinéma grec trouve son Ken Loach.

Parce que Marina Fois et Benjamin Voisin embarquent dans un road-movie à la fois burlesque et dramatique.

Parce que ce film puissant, qui a valu un Oscar à Jodie Foster, raconte les ravages de la culture du viol avec une précision clinique.

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que cette comédie belge déjantée ose absolument tout, tout en restant quasi-intégralement dans l’habitacle d’une voiture.

Parce que c'est le premier film réalisé par le grand acteur britannique Idris Elba

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que ce classique du film de Kung-fu rassemble les meilleurs acteurs du genre, dont un Donnie Yen quinquagénaire en grande forme.

Parce que le film est inspiré de la vie de Jan Baalsrud qui a pu s’échapper de Norvège après une tentative de sabotage qui a mal tourné.

Parce que le réalisateur de Gladiator retourne au péplum en contant l’une des plus grandes légendes du monde.

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce que cette suite est encore plus spectaculaire, touchante et riche que le premier opus déjà excellent.

Parce que cette plongée chez les Pictes à l’époque romaine est avant tout un impressionnant survival.

Parce qu’un film qui dézingue du nazi, ça fait toujours plaisir.

Parce que c’est le récit sans connivence des mensonges américains ayant conduits au désastre de la guerre en Irak.

Parce que c'est le volet final d'une saga parfaitement épique racontant la vie et l'oeuvre du mentor de Bruce Lee.

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que ce jeu de massacre gore et déjanté est filmé comme un véritable cartoon.

Parce que la ville interlope d'Hambourg était le décor tout désigné pour cette série noire allemande.

Parce que le cinéma des débuts de Yórgos Lánthimos (The Lobster) était aussi fascinant que terrifiant.

Parce que Roschdy Zem muscle ses talents de réalisateur pour dresser le portrait d'un culturiste gonflé à bloc

Parce que Tahar Rahim et Roschdy Zem apportent toutes les subtilités de leur jeu à ce drame social.

Parce que : Parce que Music est le seul et unique film de l’une des chanteuses pop les plus connues du 21ème siècle, Sia.

Parce que le film fait un pas de côté permanent pour raconter autrement le quotidien d'un pays en guerre civile depuis des années.

Parce que Philippe Lioret signe un beau et profond thriller familial sur le thème de la filiation, offrant à Pierre Deladonchamps un rôle émouvant.

Parce que ce projet attendait depuis des années d'être tourné. Quand Dylan Penn a finalement accepté, tout a enfin pris son sens...

Parce que, certes méconnu, il s’agit pourtant de l’un des plus grands et des plus intenses rôles de Karin Viard, l’une de nos plus importantes actrices.

Parce que c’est un grand film flamand et le César 2014 du meilleur film étranger.

Vera Belmont, réalisatrice de ROUGE BAISER et MARQUISE, réussit son incursion dans l'animation.

Parce que le travail sur le son est extrêmement important dans le film : évocateur, insupportable ou diffus, il est un personnage essentiel du récit...

Parce que ce portrait de l’Iran entre totalement en écho avec la situation dramatique du pays, et notamment sur la condition des femmes.

Parce que le cinéma iranien continue de surprendre le monde par la liberté et sans doute les risques pris par ses réalisateurs pour évoquer sans fard les sujets les plus polémiques...

Parce que la crise du logement peut abriter de splendides mélos modernes.

Parce que le film a déchainé l'enthousiasme du public espagnol plus que français

Parce qu'il faut découvrir ce film présenté à la Mostra de Venise en 2019 et pourtant resté inédit sur les écrans français.

Parce que cette histoire de passage à l'âge adulte parle avec justesse de l'adolescence, de ses colères, de ses angoisses et de sa fougue.

Parce que Comme un homme propose une vision de l’adolescence aux antipodes du cinéma français contemporain.

Parce qu'avec Tim Burton, poésie, terreur et humour s'entrechoquent toujours avec talent.

Parce qu'avant de devenir une héroïne Marvel, Elisabeth Olsen avait déjà le pouvoir d'être une immense actrice.

Parce que les regards honnêtes sur les faces, sombre comme lumineuse, de l'adolescence sont rares.

Parce que c'est un film sur la sororité, New-York et le skate, et que demander de plus ?

Pour son premier long métrage la réalisatrice Shannon Murphy a décroché le Prix Jeunes Talents de Women in Motion, un prix qui consacre les créatrices qui font avancer la cause des femmes.

Parce que la musique de film est signée Alex Turner, chanteur du groupe britannique Arctic Monkeys.

Parce que la rédemption peut devenir une drogue douce pour les enfants de la rue.

Parce que ce film est signé Alejandro Landes, réalisateur colombien dont la notoriété dans les grands festivals de cinéma comme Cannes n’est plus à faire.

Parce que la vie regardée à hauteur d'enfant aura toujours des choses à nous apprendre.

Parce que c'est l'histoire d'une des terribles erreurs judiciaires de l'Affaire Outreau.

Parce que le réalisateur québécois signe une oeuvre bouleversante sur les mécanismes de Hollywood.

Parce que dans ce thriller, Pierre Niney confirme son immense talent dans la peau d'un faussaire et usurpateur rattrapé par ses mensonges.

Parce que la boxe est probablement le sport le plus cinématographique qui soit !

Parce que le talent incomparable de l'acteur Alex Lutz, brillant interprète d'un chanteur de variété désabusé autrefois populaire, est aujourd'hui dépassé.

Parce que Tim Burton s’attaque à une histoire (presque) vraie.

Parce que Jane Campion filme comme personne la passion amoureuse entre le poète anglais John Keats et sa fiancée Fanny Brawne.

Parce que c'est le combat d’un jeune homme qui cherche à se reconstruire et le premier rôle d'Anthony Bajon (Chien de la casse).

Parce que la violence et la délinquance des plus jeunes ne sont pas des fatalités dans les favelas.

Parce que Carlos Saura a déjà signé plusieurs films où il met en valeur la danse et notamment Les Noces de Sang et Carmen.

Parce que pour la reconstitution impeccable du milieu des tournois d'échecs.

Parce que Daniel Day-Lewis a remporté l'Oscar et le Golden Globe du meilleur acteur.

Parce que Charlotte Sivera transforme son portrait en déclaration d'amitié

Parce qu'elles sont peu courante, les chorales rock dont la moyenne d'âge flirtent avec les 80 ans.

Parce que c'est le premier film du réalisateur Anders Thomas Jensen (Men & Chicken, Les Bouchers Verts), l'une des grandes figures du cinéma nordique.

Parce que si vous aimez l’humour très noir et un Mads Mikkelsen survolté, ce film est fait pour vous

Parce que c'est l'un des plus beaux rôles de Mads Mikkelsen, définitivement l'un des plus grands acteurs contemporains.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que Pio Marmaï fut nommé au César du meilleur acteur pour son rôle d'Antoine.

Parce que c'est la révélation d'une grande actrice (et réalisatrice, et scénariste), Greta Gerwig.

Parce que Julien Doré et Jonathan Cohen jouent les membres d’un groupe de Black Metal en cavale.

Parce que le personnage de Jeff est l'un des tout derniers rôles interprétés par le comédien Jean-François Stevenin, décédé avant la sortie du film.

Parce que c'est peut-être bien l'un des meilleurs rôles de la grande Isabelle Adjani.

Parce que vous ne verrez aucun film plus inventif dans l’art de l’insulte diplomatique que cette comédie politique déchaînée.

Parce que cette comédie noire truculente réunit le gratin des acteurs danois.

Parce qu'on y apprend que la Norvège put rester neutre pendant la guerre froide, grâce son armée secrète de ninja.

Parce que c'est le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Charlie Day (la série "Philadelphia"). Il joue aussi le rôle principal, entouré de ses amis stars.

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que le film a reçu le Prix du Public au Festival Premiers plans d'Angers.

Parce que si le film s’inscrit dans la description classique d'amours impossibles, il innove en situant son intrigue dans le cadre inattendu du monde des gitans.

Parce que dans ce thriller prenant et subtil, la réalisatrice July Jung dirige Bae Doona à qui elle confiera à nouveau le rôle d’une enquêtrice dans About Kim Sohee.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que le cinéaste espagnol abandonne certains de ses gimmicks pour se concentrer sur l'essentiel : un récit fort qui n'exclue cependant pas son esthétique si reconnaissable...

Parce qu’il est impossible de rester insensible à cette histoire touchante d’une prof d’éducation physique obligée de cacher sa sexualité pour garder son emploi et sa respectabilité dans l’Angleterre de Thatcher.

Parce que ce film magnifique, qui reçut 3 Oscars, traite de la douloureuse quête d'identité d'un homme à 3 périodes de sa vie.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que cette comédie hilarante au rythme effréné explore avec intelligence la pression sociale qui entoure le couple, et propose joyeusement de s’en affranchir.

Parce que Come as you are se base sur un best-seller de fiction, qui lui repose sur une réalité, les camps de rééducation chrétiens sensés guérir les homos de leurs sexualité.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que Rachel Weisz et Rachel McAdams excellent dans ce film qui entend bien briser les tabous et les interdits.

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, qui est elle-même basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce qu'on ne boude pas son plaisir de voir une série hip hop audacieuse devenir grande dans un film porté par un casting de stars et une bande son de folie !

Parce que c'est un film d’animation à l’imagination foisonnante, peuplé de créatures à la fois inquiétantes et attachantes avec, en plus, un vrai discours sur l’environnement.

Parce que ce film d’animation, qui parle de l'Angola de 1995, en pleine guerre civile, et de l'Angola de 2011, où la liberté d'expression est encore menacée, est, disons le, important.

Parce que c'est l'adaptation pop et rythmée d'une bande dessinée à succès.

Parce que cette suite au célèbre film d'animation adulte va encore plus loin que son prédécesseur, ce qui n'est tout de même pas peu dire.

Parce qu'avec ce premier long-métrage de fiction, le canadien Félix Dufour-Laperrière prouve qu'il est possible d'accorder l'animation en noir et blanc avec des thèmes qui touchent au politique, à l'individuel et au collectif.

Parce que c'est une fable philosophique drôle et cruelle.

Parce qu'au début des années 1980, Bill Plympton avait postulé chez Disney, en vain, et on comprend pourquoi en voyant son film.

Parce qu'il s'agit d'un véritable OVNI cinématographique nippon qui parvient à conjuguer le pessimisme de la science-fiction actuelle avec l'humour et l'humanité de personnages faits de tôle et de papier mâché.

Parce que comme Valse Avec Bachir, ce film mêle avec brio le cinéma du réel et l’animation.

Parce que ce film est le portrait d’un artiste, pas celui du grand réalisateur que tout le monde connaît aujourd’hui.

Parce que quatre ans après Le Promeneur du Champ-de-Mars, Robert Guédiguian renoue avec l’histoire en réalisant ce film.

Parce que c'est un petit bijou et une prouesse technique digne des grandes sagas hollywoodiennes.

Parce que Forest Whitaker a pris 25 kilos pour incarner Idi Amin Dada.

Parce que le rôle principal devait être tenu par Nicole Kidman : enceinte, celle-ci a quitté le projet au profit de Kate Winslet.

Parce que ce film poignant montre la Shoah à hauteur d'enfants avec pudeur et sensibilité.

Parce que ce film touchant en appelle autant au devoir de mémoire qu'au sens de l'aventure chez des gamins frappés par l'Histoire.

Parce que c'est l'adaptation raffinée du roman de Chantal Thomas sur l’arrangement imaginé par le Régent de France pour neutraliser l’Espagne.

Parce que Nikolaj Coster-Waldau, inoubliable Jaime Lannister de Game Of Thrones, est parfait en détective questionnant sa propre perception de la réalité.

Parce que c'est le film de la consécration internationale de la cinéaste sino-américaine Chloé Zhao, entre fiction et documentaire.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que c’est le film d’un réalisateur rare, d’un maitre espagnol du cinéma.

Parce que l'immense Terrence Malick ambitionne tout simplement de révéler les origines de notre univers.

Parce que c’est le retour en grâce d’un acteur qu’on adore, Brendan Fraser, récompensé aux Oscars.

Parce que ce film a raflé pas moins de neuf Magritte, l'équivalent belge de nos César.

Parce que c'est un angle original autour de la radicalisation.

Parce que le film déjoue de nombreux clichés sur la précarité !

Parce que la fête tourne au vinaigre dès le premier plan !

Parce que Lulu, femme nue est un film sur la liberté d’être soi, et que cela n’a pas de prix !

Parce que Julianne Moore est impayable en épouse scandinave raide et coincée.

Parce qu'avec ce brillant premier long métrage, Lukas Dhont a obtenu la Caméra d'or au Festival de Cannes en 2018.

Parce que, sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 2020, Paula Beer y remporte l'Ours d'argent de la meilleure actrice.

Parce qu’on rappelle bien qu’une Bruni faisait du cinéma avant l’autre. (et ici comme réalisatrice)

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que c’est le troisième film du réalisateur Drake Doremus à être projeté au Sundance Film Festival, preuve d’un vrai regard et d’un talent hors norme.

Parce qu'Hélène Angel nous fait réaliser à quel point l'école marque nos vies.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que le film a bien été tourné sur les côtes vénézueliennes.

Parce que le personnage de Karin Viard est inspiré des grandes voix de la radio Macha Béranger et Pascale Clark.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que derrière la question du sexe et de la dépendance, c’est un film sur la morale ou sur la perfection musicale de Bach.

Parce que Yorgos Lanthimos imagine une société dans laquelle les célibataires ont l’obligation de trouver l’âme soeur.

Parce que Dan Fogelman, le réalisateur, imprime sa patte et son style à cette comédie dramatique sur la couple et la famille.

Parce que Kheiron s'inspire de son expérience passée d'éducateur pour valoriser le vivre-ensemble...

Parce qu'on adore se faire une toile !

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Il est rare que le cinéma s'intéresse au destin des migrants une fois qu'ils sont arrivés à destination...

Parce que ce film de procès tourné comme un thriller s’empare d’une véritable affaire pour questionner intelligemment le système judiciaire français.

Parce que c'est la rencontre au sommet de deux grandes actrices, Elizabeth Banks et Chloë Sévigny.

Parce que l'histoire se déroule entre Paris et l'Italie, mais absolument pas en Alaska.

Parce que ce remake d’un classique du cinéma anglais est une délicieuse comédie noire et burlesque des frères Coen.

Parce que Mickey Rourke laissa sa place au dernier moment à Woody Harrelson.

Parce que c’est un authentique film de geek, aux références nombreuses et intelligemment employées, pour un résultat ludique à souhait.

Parce que ce thriller a été la première fiction tournée à La Nouvelle-Orléans après le terrible ouragan Katrina qui ravagea la ville en octobre 2005.

Parce que pour la première fois au cinéma, les effets spéciaux jouaient avec les liquides.

Parce que Matthew McConaughey s'est inspiré du général Patton pour créer son personnage de militaire chasseur de dragons.

Parce que le plus compliqué des effets spéciaux fut de reconstituer le soleil.

Parce que la courbe Stanton du film existe vraiment, à Bellaire Ohio.

Parce que le film passe désormais pour celui qui a prédit le coronavirus.

Parce que c'est l'un des grands classiques de Wes Anderson, et l'une de ses plus belles bandes originales.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que c’est peut-être l’un des plus grands films sur la famille, forcément dysfonctionnelle ici, puisque nous sommes au coeur du cinéma de Wes Anderson.

Parce que cette comédie représente la quintessence du cinéma de Wes Anderson, entre mélancolie, esthétique soignée et douce folie des personnages.

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que Xavier Dolan s'est entouré d'une bande de ses véritables amis pour tourner cette histoire tendre et cruelle. Une oeuvre émouvante et sensible portée par des comédiens complices.

Parce que le film a failli s'appeler forget me not, du nom de la fleur de myosotis

Parce qu'après Le déclin de l’empire américain et Les Invasions barbares, Denys Arcand boucle avec brio, après 32 ans, son analyse fine de l'Amérique du Nord aujourd'hui.

Parce que cette histoire incroyable de double vie est authentique et a défrayé la chronique au Québec.

Parce que cette comédie satirique a obtenu un large succès public au Canada et décroché deux Jutra, prestigieuse récompense canadienne.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.

Parce que c'est l'histoire vraie et folle d'un canadien qui a eu plus d'une centaine d'enfants.

Parce que ce film catastrophe au suspense efficace cache une critique sociale acerbe

Parce que les mystères abondent dans ce film qui multiplie les apparitions comme les disparitions avec gourmandise et malice.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que l'efficacité plus qu'hollywoodienne de ce film sud-coréen est inattendue.

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce que ce premier film d’une réalisatrice italienne rappelle les débuts de Sofia Coppola.

Parce que pour vivre une plongée vertigineuse et haletante dans le monde de la criminalité napolitaine et de ses nouveaux parrains aux visages d'anges.

Parce que cette romance italienne à la veine malickienne joue avec nos perceptions sensorielles et temporelles.

Parce que l’addiction est un grand sujet de cinéma.

Parce que malgré une crise qui dure depuis trentre ans, et malgré son manque de moyens, le cinéma italien voit ici émerger un nouvel auteur.

Parce que la fine fleur du cinéma italien réunie devant la caméra d'un cinéaste jamais aussi à l'aise qu'avec un film chorale...

Parce que cette comédie amusera sans mal les fans de foot (mais pas que) avec de nombreux clins d’oeil à des évènements réels.

Parce que ce film est à l’image d’un coucher de soleil, beau et triste, majestueux, intense, éphémère.

Parce que ce western urbain, drôle et ne manquant pas de mordant, est aussi une critique de l'immobilisme de la société italienne.

Parce que le film ne choisit pas vraiment de camp, et interroge sur les dérives d’Internet autant que les méthodes policières douteuses du protagoniste.

Parce que cette plongée dans la nuit de Los Angeles montre un monde désenchanté, presque nihiliste.

Parce que ce film est l'adaptation du roman Mýrin d'Arnaldur Indriðason, qui marque la première apparition d'un personnage récurrent, le commissaire Erlendur Sveinsson.

Parce que ce film basé sur un livre-enquête jette un nouveau regard sur les meurtres des rappeurs Tupac Shakur et The Notorious B.I.G.

Parce que le film mérite d’être redécouvert pour ses qualités de divertissement grand public, hélas balayées par une actualité tragique.

Parce que le film a fait l'ouverture du Festival de Cannes et a valu un Oscar à Frances McDormand.

Parce que c'est un polar aux accents de comédie étrange, un film noir sous un soleil de plomb.

Parce que l'amateur de cinéma ne pourra jamais se remettre de De Niro faisant exploser des poubelles à la dynamite.