Les plus vus

Parce que ce classique du film d'animation érotique a gagné le Cristal du court métrage d'Annecy en 2012

Parce que le court de Ladj Ly on le sait sera développé plus que brillament en long

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Parce que ces quatre minutes d'humour noir ont été inspirées par l'expérience de Milgram, qui prouve à quel point des individus ordinaires peuvent commettre des actes horribles.

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce que l'imaginaire enfantin se doit d'être pris au sérieux, le film le démontre

Parce qu'une chroniqueuse du "Cercle" s'essayait à la mise en scène

Parce que c'est la lauréat du César du meilleur court métrage en 2003.

Parce que cette ode au rêve réunit Mathieu Kassovitz et Vincent Cassel, un an avant La Haine.

Parce que ce film, mi-installation mi-documentaire, visita les festivals du monde entier.

Parce que, filmé à Manhattan, le film montrait déjà que Klapisch était un grand voyageur

Parce que l'on redécouvre petit à petit le cinéma d'Edouard Luntz

Parce qu'on trouve dans le film l'esprit que Jean-Pierre Jeunet approfondira dans Amélie Poulain

Parce que le court de Stéphane Betbeder anticipait son long, le Voyage au Goenland

Parce que la BD que le film adapte était elle-même tirée de Baudelaire

Parce que les thèmes de "En guerre" étaient déjà présent 20 ans plus tôt dans le film de Stéphane Brizé

Parce que le film ouvre différents thèmes qu'Olivier Assayas approfondira ensuite

Parce que le film a reçu une Palme d'or à Cannes ( du court métrage)

Parce que l'imaginaire enfantin se doit d'être pris au sérieux, le film le démontre

Parce que le film oh combien atypique pourrait qualifié de road movie improvisé

Parce que la véritable inspiratrice du film (fantastique) est bel et bien la Bretagne

Parce qu'avant la tortue Rouge, Michael Dudok de Wit faisait ses gammes

Parce que certes le film est signé Laloux Topor mais avec aussi Alain Goraguer à la musique

Parce que le bar du film existe vraiment ( à Brignogan!)

Parce que le film (d'animation) est moins sur James Brown que sur l'Amérique des années 60

Parce que le court de Ladj Ly on le sait sera développé plus que brillament en long

Parce qu'on y voit Maurice Pialat dans un petit rôle de photographe.

Parce que le film reçut le César ( du meilleur court métrage!) en 2014

Parce que Philippe Rebbot y compose un clown hors normes

Parce que le film est tourné à 2 caméras pour capturer aux mieux les enfants d'une classe

Parce qu'une chroniqueuse du "Cercle" s'essayait à la mise en scène

Parce que Depardieu y a un bébé pour partenaire

Parce qu'on y entend Sheila (et qu'Ozon y provoque!)

Parce que le film fait converger sans papiers et foot au féminin

Parce qu'il y a certes de la téléréalité mais aussi plein d'animaux

Parce que ce pastiche de Guillaume Rieu est aussi un hommage à Ray Harryhausen

Parce que Resnais a ainsi fait entrer la Bibliothèque Nationale au Panthéon du cinéma

Parce que si le film - d'animation, 8 minutes! - est français, il adapte un conte coréen

Parce que le film était le dernier court de François Ozon avant qu'il passe au long

Parce que le film a remporté le César du meilleur court en 2018

Parce que la chute du film est devenue mythique

Parce que pour son 3e film, Mikhaël Hers recevait le prix Jean-Vigo du court métrage

Parce que le film annonce le cinéma à venir d'Alain Cavalier

Parce que le film marque en 5 minutes la rencontre entre l'opéra et les danses urbaines

Parce que le film confronte Benoit Forgeard (réalisateur) et Vincent Macaigne (acteur)

Parce que le film de Pialat a souvent été qualifié de plus beau au sein du cinéma français

Parce que ce film, mi-installation mi-documentaire, visita les festivals du monde entier.

Parce que les années ont érigé le premier film de Caro Jeunet au rang de classique

Parce que le film nous parle de migrants et d'adolescents

Parce que le film mêle images de concert rock et musique classique en fond sonore

Parce qu'on découvrait dans le film (signé Marina de Van!) Gaspard Ulliel à 12 ans

Parce que le film de Xavier Legrand filme en fait le 1er chapitre de son Jusqu'à la garde

Parce que bien avant Party Girl, les réalisatrices recevaient le César du Court Métrage

Parce que peu courants sont les films décrivant une révolte de sapins de Noel!

Parce que le film est en quelque sorte un teen movie

Parce que Klapisch donnera le titre de son film (un faux docu) à sa société de production

Parce que le film révéla Finnegan Oldfield et Garance Marillier

Parce que le film montre que l'animation est aussi une question de simplicité dans l'efficacité

Parce que ce film, conçu comme une enquête, suit la piste de Franck, ami et comédien disparu depuis sa conversion à l'Islam, que le réalisateur tente de retrouver et filmer avec humanité.

Parce que Julien Hallard, pour le dernier de ses 7 courts métrages et 4 ans avant son long métrage "Comme des garçons", donne vie à un désopilant sosie fan de Jim Morrison en la personne de Franc Bruneau.

Parce que Natalie Beder, comédienne et réalisatrice, dirige et accompagne André Wilms, dans un jeu de deuil et de fantôme tout en douceur.

Parce que deux frères que tout oppose, interprétés par les généreux Sébastien Chassagne et Olivier Chanteau, valent bien une petite balade en Bretagne.

Parce qu'on n'a pas tous les jours l'occasion de découvrir les aventures d'un chameau facétieux à travers la Tunisie.

Parce que le désir amoureux n'a que rarement été aussi bien filmé.

Parce que juste à travers les mains, des gens racontent des histoires touchantes, amusantes, faussement anecdotiques.

Parce que derrière un simple trajet dans l'habitacle d'une voiture se dessine un sujet bien plus glaçant.

Parce que le 71 rue Blanche est l'adresse de l'atelier du sculpteur Christophe Boutin, coréalisateur du film.

Parce que le spectateur s'interrogera longuement sur le vrai du faux dans ce court particulièrement intriguant.

Parce qu'en lieu et place de la magie d'un tournage de cinéma, Les Volets raconte ses petites contrariétés, et son besoin de mimolette.

Parce que cette version restaurée du film de 1964 donne à voir le mime Marceau et son art, avec le Paris de son époque pour terrain de jeu.

Parce qu'en scrutant les gestes du quotidien, Guy Gilles a créé un portrait de Paris et de la France de 1965.

Parce que Jacques Rozier nous entraine sur les chemins de l'école buissonnière et des rivières varoises, dans un rythme empreint de fraîcheur et de liberté.

Parce qu'après "La Pointe courte" et avant "Cléo de 5 à 7", Agnès Varda réalisa, tout en fantaisie et couleurs irradiantes, un documentaire sur les châteaux de la Loire.

Parce que Paolo Trotta parvient à passionner avec une tombe pour seul décor et une Catherine Hiegel bouleversante.

Parce que ce troisième et dernier court métrage réalisé par Claude Miller a été interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en raison de son antimilitarisme.

Parce que le sujet de ce court métrage (la torture) lui a valu plusieurs mois d'interdiction de diffusion.

Parce que ce sont les début de Thomas Cailley, réalisateur des géniaux Les Combattants et Le règne animal.

Parce que le duo Dominique Abel et Fiona Gordon offre, comme ici, des pépites burlesques et tendres qu'il faut absolument découvrir.

Parce que cette ode au rêve réunit Mathieu Kassovitz et Vincent Cassel, un an avant La Haine.

Parce que ce court métrage pudique, récompensé aux Césars, réunie l'actrice Marilyne Canto (également réalisatrice), son compagnon Antoine Chappey et leur fils Louis.

Pour la brève rencontre de deux grands acteurs comiques français: Pierre Richard et Jacques Villeret.

Parce que le film est une fiction mais intègre d'authentiques images de la grossesse de la réalisatrice et actrice Lucie Borleteau, filmées par son amie comédienne Sara Rastegar.

Parce qu'il faut savoir que l'acteur Estéban n'est autre que le fils du réalisateur Philippe Clair, roi de la comédie nanarde ("Le Führer en folie", "Si t'as besoin de rien... fais-moi signe" et autres pépites).

Parce qu'avant de réaliser "Deux Fils", Félix Moati proposait déjà un court métrage avec son compère Vincent Lacoste, sélectionné à Cannes en 2016.

Parce que Claude le Pape, scénariste de Thomas Cailley, Hubert Charuel, ou encore Thomas Lilti, donne ici à Jackie Berroyer, personnage solitaire et démuni, un rôle plein d'humour et de sensibilité.

Parce que ce moyen-métrage, tourné à Majorque, évoque avec sensibilité la relation d'une mère en galère et sa fille, seules pour un week-end.

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce que Monia Chokri, quelques années avant son César obtenu en 2024 pour "Simple comme Sylvain", avec la même Magalie Lépine-Blondeau, sait montrer l'amitié et ses failles avec mordant.

Parce que Jules-Édouard Moustic émeut dans ce contre-emploi, sensible et désabusé, face à Noémie Lvovsky.

Parce qu'après son passage au Festival de Sundance, le film de Sofia Alaoui a fini par remporter le César du meilleur court métrage de fiction en 2021.

Parce qu'après plusieurs courts-métrages réalisés ensemble ou en solo, un premier long métrage, "Jessica Forever", et un second à venir, "Eat the Night", revenons aux sources d'une jeunesse en perte de sens.

Parce qu'à hauteur d'enfant, Agnès Patron parle d'abord aux adultes dans ce court-métrage mis en musique par Pierre Oberkampf.

Parce qu'Arnaud des Pallières, par un défilement d'images de films de famille, reprend avec grâce tous les codes du cinéma muet (noir et blanc, cartons), pour redonner vie à une jeune fille disparue dans les années 30.

Parce que pour mettre en scène son scénario, Adrien Mérigeau s'est entouré de talents reconnus de l'animation (Céline Devaux) et du dessin (Brecht Evens).

Parce que le film parvient en 20 minutes à établir des portraits d'adolescents avec délicatesse et justesse.

Parce que c'est le seul film en prises de vue réelles de Jean-François Laguionie, grand cinéaste d'animation.

Parce que c'est un témoignage bouleversant sur le sevrage d'une drogue qui a marqué les esprits dans les années 1990

Parce que c'est une pépite du cinéma fantastique français, à une époque où le genre était délaissé dans le pays.

Parce que c'est la lauréat du César du meilleur court métrage en 2003.

Parce que c'est un hommage au cinéma en général et au film "Les Parapluies de Cherbourg" de Jacques Demy en particulier.

Parce que cette séance de psy pas comme les autres illustre impeccablement le principe de l'inquiétante étrangeté.

Parce que ce titre imprononçable correspond au nom latin du Manchot Empereur, qui est justement le sujet du film.

Parce que la coréalisatrice Lucie Rico a également publié plusieurs romans.

Parce que c'est l'histoire d'un secret de famille qui débouche sur une véritable série noire, et donne naissance à un grand documentaire.

Parce que "Yandere" est un terme japonais qui décrit la façon dont l'amour dérive en folie furieuse ; ce qui résume bien ce court métrage.

Parce que le rôle principal est interprété par la musicienne pop-rock Fishbach.

IL faut découvrir le talent de Paul Nouhet, devant et derrière la caméra.

Parce que le titre est une locution latine bien connue (cf.les pages roses du dictionnaire), attribuée à Caton l'ancien dans le cadre des guerres puniques et qui signifie : "Il faut détruire Carthage !"

Parce que le réalisateur Alexandre Labarussiat connait bien le monde de l'escrime, sport qu'il a pratiqué pendant des années... et cela se voit !

Parce que le décor poétique choisi par la réalisatrice se situe à Nanterre : il s'agit des bien nommées "tours nuages".

Parce que ce dessin animé plein de gags nous rappelle le bon vieux temps du cinéma burlesque muet.

Parce que ce classique du film d'animation érotique a gagné le Cristal du court métrage d'Annecy en 2012

Parce que ces quatre minutes d'humour noir ont été inspirées par l'expérience de Milgram, qui prouve à quel point des individus ordinaires peuvent commettre des actes horribles.

Parce que David Coquard-Dassault, dont c'est ici le premier court métrage, a ensuite travaillé comme directeur artistique du superbe "Le sommet des dieux", d'après Jirô Taniguchi.

Parce que Florence Miailhe réalise ses films grâce à la technique de la peinture sur verre, pour un résultat d'une rare beauté.

Parce que la musique est signée par le groupe d'électro M83, dont l'un des membres est le frère du réalisateur Yann Gonzalez.

Parce que Thomas Salvador est réalisateur et acteur, mais aussi prestidigitateur, alpiniste, danseur et acrobate.

Parce que ce documentaire possède une pointe d'étrangeté rêveuse qui fait tout le charme du cinéma belge.

Parce que cette comédie burlesque sans dialogues est l'occasion de revoir, dans le rôle-titre, le regretté Christophe Salengro, président à vie du Groland.

Parce que ce film sans parole fait la part belle aux musiques envoutantes du compositeur estonien Arvo Pärt.