Parce que derrière la question du sexe et de la dépendance, c’est un film sur la morale ou sur la perfection musicale de Bach.

Parce que Lars Von Trier a écrit ce film en pensant à Nicole Kidman, qu’il a convaincu de participer à cette aventure à l'esthétique radicale.

Parce que Dancer In The Dark a remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et Björk le prix d'interprétation féminine.

Parce que la naïveté d'Emily Watson est accentuée par la réalisation froide de Lars von Trier.

Parce que c’est le film d’un réalisateur rare, d’un maitre espagnol du cinéma.

Parce que c’est une odyssée vaporeuse qui émeut de bout en bout à travers les regrets d'un homme au seuil de sa vie.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être une satire politique largement incomprise à sa sortie.

Parce que Yorgos Lanthimos imagine une société dans laquelle les célibataires ont l’obligation de trouver l’âme soeur.

Parce que le cinéma des débuts de Yórgos Lánthimos (The Lobster) était aussi fascinant que terrifiant.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce qu'à le revoir, le film de Carlos Saura vaut encore davantage que la chanson qui le popularisa jadis

Parce qu'Icíar Bollaín a commencé sa carrière comme actrice chez Ken Loach, une influence qui se retrouve dans son engagement et sa façon d'aborder des sujets d'actualité.

Parce que c'est la version originale et espagnole de Vanilla Sky.

Parce que le cinéaste espagnol abandonne certains de ses gimmicks pour se concentrer sur l'essentiel : un récit fort qui n'exclue cependant pas son esthétique si reconnaissable...

Parce que le réalisateur de Drunk signe un splendide mélodrame.

Parce que le film s'inspire d'événements réels qui se sont produits lors de l'élection de Miss Monde en 1970.

Parce que voilà une occasion rêvée de découvrir la nouvelle génération du cinéma roumain, incarnée ici par le réalisateur Radu Jude, ancien assistant de Costa-Gavras).

Parce que la fête tourne au vinaigre dès le premier plan !

Parce que le film remet en question les outrages de la police pendant les années de plomb, oscillant entre gags légers et violence rare (presque gore) pour un polar italien.

Parce que le film est inspiré de la vie de Jan Baalsrud qui a pu s’échapper de Norvège après une tentative de sabotage qui a mal tourné.

Parce que c'est une belle ode à l'indépendance et un modèle de comédie réussie.

Parce que Carlos Saura a déjà signé plusieurs films où il met en valeur la danse et notamment Les Noces de Sang et Carmen.

Parce que le film a déchainé l'enthousiasme du public espagnol plus que français

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce que c'est un polar aux accents de comédie étrange, un film noir sous un soleil de plomb.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que Nikolaj Coster-Waldau, inoubliable Jaime Lannister de Game Of Thrones, est parfait en détective questionnant sa propre perception de la réalité.

Parce que c'est un survival en milieu urbain ultra nerveux qui va vous couper le souffle.

Parce que Sons Of Denmark est un film d’anticipation des années 2010 dont l’histoire démarre pile... en 2025.

Parce que c'est le premier film du réalisateur Anders Thomas Jensen (Men & Chicken, Les Bouchers Verts), l'une des grandes figures du cinéma nordique.

Parce que c'est l'un des plus beaux rôles de Mads Mikkelsen, définitivement l'un des plus grands acteurs contemporains.

Parce que si vous aimez l’humour très noir et un Mads Mikkelsen survolté, ce film est fait pour vous

Parce que ce film explore subtilement les mécanismes du déracinement et des discriminations expérimentés par la communauté chinoise en Espagne.

Parce que Gonzalo Tobal réussit un thriller judiciaire et familial haletant.

Parce que c'est le premier film réalisé par le grand acteur britannique Idris Elba

Parce que ce film a raflé pas moins de neuf Magritte, l'équivalent belge de nos César.

Parce que c'est un angle original autour de la radicalisation.

Parce que le premier film de Pilar Palomero fut récompensé de deux Goyas, équivalents espagnols des César.

Parce que si le film s’inscrit dans la description classique d'amours impossibles, il innove en situant son intrigue dans le cadre inattendu du monde des gitans.

Parce que ce film sur la rébellion adolescente révéla Clara Roquet en tant que réalisatrice.

Parce que le film a été tourné pendant la pandémie en 2021 dans un Madrid désert quasi surréel.

Parce que ce premier film de Daniel Brühl est une comédie noire pleine de tensions et d'autodérision

Parce que l'histoire est tirée des exploits de Dream Alliance, un cheval qui a changé la vie de sa propriétaire.

Parce que c'est un petit bijou et une prouesse technique digne des grandes sagas hollywoodiennes.

Parce que ce film est l'adaptation du roman Mýrin d'Arnaldur Indriðason, qui marque la première apparition d'un personnage récurrent, le commissaire Erlendur Sveinsson.

Parce qu’il est impossible de rester insensible à cette histoire touchante d’une prof d’éducation physique obligée de cacher sa sexualité pour garder son emploi et sa respectabilité dans l’Angleterre de Thatcher.

Parce qu'avec Her Job, le cinéma grec trouve son Ken Loach.

Parce que la musique de film est signée Alex Turner, chanteur du groupe britannique Arctic Monkeys.

Parce que pour vivre une plongée vertigineuse et haletante dans le monde de la criminalité napolitaine et de ses nouveaux parrains aux visages d'anges.

Parce que l’addiction est un grand sujet de cinéma.

Parce que ce premier film d’une réalisatrice italienne rappelle les débuts de Sofia Coppola.

Parce que malgré une crise qui dure depuis trentre ans, et malgré son manque de moyens, le cinéma italien voit ici émerger un nouvel auteur.

Parce que ce film est le portrait d’un artiste, pas celui du grand réalisateur que tout le monde connaît aujourd’hui.

Parce que la rédemption peut devenir une drogue douce pour les enfants de la rue.

Parce que ce western urbain, drôle et ne manquant pas de mordant, est aussi une critique de l'immobilisme de la société italienne.

Parce que la fine fleur du cinéma italien réunie devant la caméra d'un cinéaste jamais aussi à l'aise qu'avec un film chorale...

Parce que le film rend justice à la communauté Yéniche, dont on connaît mal les terribles sévices qu’elle a vécu.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que ce long-métrage, porté devant et derrière la caméra par Elena Martín, raconte avec intelligence les troubles d’une sexualité aux racines profondes.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Il est rare que le cinéma s'intéresse au destin des migrants une fois qu'ils sont arrivés à destination...

Parce que c’est un grand film flamand et le César 2014 du meilleur film étranger.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce qu'avec ce brillant premier long métrage, Lukas Dhont a obtenu la Caméra d'or au Festival de Cannes en 2018.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que la crise du logement peut abriter de splendides mélos modernes.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que des compagnies japonaises ont refusé de travailler sur les séquences d'animation du film, en raison de sujets (le mal-être adolescent et le suicide) trop sensibles dans leur pays.

Parce qu'il n'y avait que le cinéma hongrois pour avoir l'audace de filmer ainsi le bodybuilding féminin.

Parce que l'actrice Ella Rumpf, vue dans "Grave" et "Succession", est rien de moins que la grande star de demain.

Parce que que ce terrifiant film espagnol prouve la vigueur du cinéma de genre bien au-delà d'Hollywood.

Parce que cette série B crue et violente est un mélange des genres et des excès, dont le ton trop sérieux force l’hilarité.

Parce que derrière l’accumulation des corps se trouve le récit progressiste d’un cinéaste prônant la liberté, en pleine période franquisme, d’intolérance et de répression.

Parce que ce Cluedo à l’ambiance gothique entremêle joyeusement les genres.

Parce que No Dormiras risque fort de tenir sa promesse et vous empêcher de dormir...

Parce que auto-produite avec peu d'argent, cette “série Z volontaire” retrouve l'esprit vintage et l'ambiance déjantée du cinéma d'exploitation des années 70.

Parce que Tomas Milian est génial en ancien ripoux devenu flic à l’hygiène douteuse, sorte d’alterego crasseux d’Al Pacino dans Serpico.

Parce que Blasfighter, l'exécuteur est le meilleur ersatz des sous Rambo italiens produits à la chaîne dans les années 80.

Parce que le film (de chasse à l'homme) a été qualifié par son réalisateur de "film pop".

Parce que le film est une expérience documentaire sans équivalente sur la place de l'homme sur terre.

Parce que ce film qui mêle fantasme lesbien et psychanalyse dans la haute bourgeoisie anglaise est un giallo érotique et élégant signé Lucio Fulci.

Parce que ce film est procession ahurissante d'images sado-maso trempées dans les couleurs psychédéliques du chef opérateur Ugo Brunelli.

Parce que ce film compte parmi les titres phares de l'âge d'or du giallo, genre populaire en Italie dans les années 1970, qui conjugue suspense horrifique et érotisme.

Parce que ce Giallo rural à l’ambiance particulièrement macabre est considéré par son réalisateur Lucio Fulci comme le film qu’il préférait dans sa riche filmographie.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que ce film est comme une promenade cauchemardesque dans le Berlin Ouest du début des années 1980.

Parce que ce polar en noir (et blanc) est signé par un étonnant metteur en scène autrichien, qui a réalisé des comédies, des films d'horreur mais aussi des westerns !

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.

Parce que ce huis-clos angoissant est une incroyable réussite, un cauchemar rempli de surprises et de rebondissements ahurissants.

Parce que Terminator en version série B italienne dans les eighties est forcément une bonne nouvelle.

Parce que entre "Les chiens de paille" et "Evil dead" c'est une série véritablement horrifique...

Parce que le roman avait tellement fait scandale à sa sortie que le film qui en est l'adaptation s'est tourné sous un faux titre afin de ne pas attirer l'attention.