Les plus vus

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que la naïveté d'Emily Watson est accentuée par la réalisation froide de Lars von Trier.

Parce que le cinéma des débuts de Yórgos Lánthimos (The Lobster) était aussi fascinant que terrifiant.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être une satire politique largement incomprise à sa sortie.

Parce que Dancer In The Dark a remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et Björk le prix d'interprétation féminine.

Parce que Redford a travaillé son rôle avec Richard Helms, autrefois grand ponte de la CIA.

Parce que Lars Von Trier a écrit ce film en pensant à Nicole Kidman, qu’il a convaincu de participer à cette aventure à l'esthétique radicale.

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce que le titre renvoie à la carrière passée de Federico, sept films et deux courts qui comptent donc pour un demi !

Parce que c’est le film d’un réalisateur rare, d’un maitre espagnol du cinéma.

Parce que Lars Von Trier a écrit ce film en pensant à Nicole Kidman, qu’il a convaincu de participer à cette aventure à l'esthétique radicale.

Parce que Dancer In The Dark a remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et Björk le prix d'interprétation féminine.

Parce que le film a suscité la polémique lors de sa projection à Cannes, spectateurs quittant la salle d’un côté, standing ovation de l’autre.

Parce que la naïveté d'Emily Watson est accentuée par la réalisation froide de Lars von Trier.

Parce que derrière la question du sexe et de la dépendance, c’est un film sur la morale ou sur la perfection musicale de Bach.

Parce que ce film historique multi-récompensé de Yorgos Lanthimos se révèle une satire noire et grotesque de l’aristocratie anglaise.

Parce que Yorgos Lanthimos imagine une société dans laquelle les célibataires ont l’obligation de trouver l’âme soeur.

Parce que quelques années avant d'être révélé mondialement avec The Lobster, Yórgos Lánthimos éblouissait déjà.

Parce que le cinéma des débuts de Yórgos Lánthimos (The Lobster) était aussi fascinant que terrifiant.

Parce que Sandrine Bonaire et Isabelle Huppert ont mérité leur double prix d'interprétation à la Mostra de Venise en 1995.

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn.

Parce que c'est l'un des plus beaux et impressionnants films sur la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale.

Parce que le titre original en italien,"la première nuit de quiétude", renvoyait à Goethe.

Parce que l'immense Belmondo fait ses cascades lui-même !

Parce qu'il y a la seule rencontre Belmondo Resnais.

Parce que les meilleures comédies de boulevard sont celles qui, derrière les rires, porte un regard moderne sur les moeurs.

Parce que cette fausse bluette en Sardaigne dévorant symbolise bien la manière très années 70 de raconter les traumatismes et le désir.

Parce que cette adaptation libre du roman de la Comtesse de Ségur est le premier film de Jacqueline Audry, l'une des très rares réalisatrices des années 1940.

Parce que plus de 85 ans après sa sortie, ce chef d’oeuvre de Marcel Carné reste l’un des repères fondateurs du cinéma français en alliant tradition et modernité...

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Premier chef-d'oeuvre de Robert Bresson, annonçant déjà toute l'exigence de son esthétique.

Parce que Jean Gabin, 34 ans, chante "Quand on s'promène au bord de l'eau !".

Parce que c'est une oeuvre de science-fiction délirante, absurde, sexuelle, déviante, hilarante !

Parce que Micheline Presle y tient deux rôle et qu'elle y est doublement émouvante

Parce que tous ces acteurs français jouent des québecois.

Parce que le Paris de Carné Prévert est "tout petit pour ceux qui s'aiment d'un grand amour"

Parce que c’est le film d’un réalisateur rare, d’un maitre espagnol du cinéma.

Parce que le film d’Andrzej Zulawski est un cauchemar horrifique qui imagine la liaison entre une femme mariée et un amant qui n’a rien d’humain...

Parce qu'à le revoir, le film de Carlos Saura vaut encore davantage que la chanson qui le popularisa jadis

Parce que le dernier des 3 films italiens de Jean-Paul Belmondo marque la rencontre avec une autre légende, Claudia Cardinale, 2 ans avant Cartouche

Parce que c'est un film tourné très loin (au Pérou) sans trucages et ça se remarque!

Parce que non seulement le film de Scola ne vieillit pas (il est classique), mais son actualité s’épanouit (il est moderne).

Parce que ce film, incompris à sa sortie, est aujourd'hui considéré comme un des plus grands films du cinéma de genre.

Parce qu’Ingmar Bergman filme Ingrid Bergman pour la première et unique fois et lui offre un rôle puissant face à Liv Ullman.

Parce que c'est ce classique d'Antonioni qui a fait de Monica Vitti une star internationale

Parce que, pour son premier film, Ridley Scott cherche à retrouver la lumière du Kubrick de Barry Lyndon

Parce que c'est l'Italie des années 70. Quand une milliardaire américaine invite à jouer aux cartes les nécessiteux d’un bidonville romain. Quand ceux-ci se mettent à gagner.

Parce que ce portrait sans concession de la pauvreté est toujours aussi grinçant 40 ans plus tard.

Parce que cette oeuvre belle et dérangeante fut récompensée du Lion d’or à Venise en 1967.

Seul Buñuel pouvait réaliser un film sur un groupe de bourgeois qui ne parvient pas mener à bien dîner. A le réussir et à le faire vieillir aussi bien.

Parce que c'est le dernier coup d’archer de Don Luis Bunuel, une variation mélancolique et cocasse autour du roman de Pierre Louiys, la femme et le Pantin.

Parce qu'à 74 ans, Bunuel est en pleine forme et son imagination plus libre que jamais.

Parce que ce chef-d’oeuvre de Luis Buñuel présente l’un des personnages féminins les plus fascinants de l’histoire du cinéma.

Parce que 9 ans après Viridiana, Buñuel retrouvait l'Espagne franquiste, Tolède en l'occurrence.

Parce qu'on ne sait jamais comment respecter à la lettre les principes d'une religion qui disent tout et son contraire, au risque de déplaire à Dieu !

Parce que ce film à scandale de David Cronenberg reçut le Prix spécial du Jury au Festival de Cannes en 1996.

Parce que le plan final a été réalisé avec du latex, de la viande pour chiens et des foies de lapin

Parce que David Croneberg a écrit son film après un divorce douloureux, ça se sent!

Parce que quand un grand maître de l'étrange et du fantastique s'intéresse aux jeux-vidéo et questionne ses dépassements, il nous offre une oeuvre glauque et complètement fascinante.

Parce que c'est l'un des films les plus étranges et les plus passionnants de Cronenberg !

Parce que ce chef d'oeuvre est l'une des plus belles et impressionnantes oeuvres de David Cronenberg.

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce que cette comédie représente la quintessence du cinéma de Wes Anderson, entre mélancolie, esthétique soignée et douce folie des personnages.

Parce que c’est peut-être l’un des plus grands films sur la famille, forcément dysfonctionnelle ici, puisque nous sommes au coeur du cinéma de Wes Anderson.

Parce qu’avec ce second long-métrage, Wes Anderson confirme ses capacités de créateur excentrique et raffiné, à travers une comédie douce-amère sur la mort, l’ambition et le passage à l’âge adulte.

Parce que c'est l'un des grands classiques de Wes Anderson, et l'une de ses plus belles bandes originales.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que ce film culte des années 90 se révèle être une satire politique largement incomprise à sa sortie.

Parce que Redford a travaillé son rôle avec Richard Helms, autrefois grand ponte de la CIA.

Parce que l'immense Terrence Malick ambitionne tout simplement de révéler les origines de notre univers.

Parce que c'est le 15 septembre 1954 que fut tournée la mémorable scène de la bouche de métro.

Parce que Marylin a vraiment failli se noyer dans la rivière du titre.

Parce que Niagara, pardonnez nous le spoiler, est le seul film où Marilyn Monroe meurt à l’écran.

Parce que le paquebot du film avait déjà été utilisé pour une précédente version du Titanic.

Parce que Marilyn et Montand ont respecté le titre anglais du film ("Let's make love").

Parce que c'est le premier film tourné en CinemaScope.

Parce que c'est une comédie parfaite, aussi drôle que transgressive, aussi musicale que travestie, avec sa célèbre réplique "nobody's perfect".

Parce que le magnétisme dévastateur de Marilyn fait totalement oublier qu'il s'agit d'une oeuvre plutôt mineure dans sa filmographie

Parce que John Ford choisit de tourner son film sans maquillage ni parfum

Parce que Sydney Pollack décide d’aborder les conséquences dramatiques de la grande dépression des années 30 par le biais d’un banal concours de danse comme il en existait tant à travers l’Amérique.

Parce que le film est le dernier très grand de Richard Fleischer, glaçant aussi.

Parce que les scènes du hall d'accueil des bureaux ont été tournées dans une des Twin Towers.

Parce qu’après Taxi Driver, cette collaboration Scorsese-Schrader explore une nouvelle fois les bas-fonds de la nuit new-yorkaise.

Parce que derrière la caméra se cache Don Siegel, réalisateur de Dirty Harry et l'un des plus grands cinéastes des années 60 et 70.

Parce que c'est une comédie d'action, genre trop rare, mise en scène par James Cameron lui-même.

Parce que ce film magnifique, qui reçut 3 Oscars, traite de la douloureuse quête d'identité d'un homme à 3 périodes de sa vie.

Parce que l'amateur de cinéma ne pourra jamais se remettre de De Niro faisant exploser des poubelles à la dynamite.

Parce que ce classique de Steven Spielberg fut salué dès sa sortie pour son réalisme par des anciens combattants.

Parce que c'est la révélation d'une grande actrice (et réalisatrice, et scénariste), Greta Gerwig.

Parce que Donald Sutherland n’a jamais été aussi drôle et touchant que dans cet immense classique signé Robert Altman.

Parce que le maître Billy Wilder s’aventure ici dans le film de guerre et de prisonniers sans rien perdre du mordant de ses comédies culte.

Parce que Robin Williams a reçu le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical en 1988 pour ce rôle.

Parce que c’est une satire jouissive du film de mafia multirécompensée aux Golden Globes et aux Oscars.

Parce que ce film culte, véritable hymne à la jeunesse, a été une leçon de vie pour des générations de spectateurs.

Parce que le film a, en fait, été tourné essentiellement à Hollywood.

Parce que ce film culte est un peu le film-somme de Robert Redford, acteur et réalisateur.

Parce que pour la première fois au cinéma, les effets spéciaux jouaient avec les liquides.

Parce que Daniel Day-Lewis a remporté l'Oscar et le Golden Globe du meilleur acteur.

Parce que la rencontre entre Paul Newman et Tom Cruise orchestrée par Martin Scorsese reste un sacré coup de billard à trois bandes.

Parce que le film a fait l'ouverture du Festival de Cannes et a valu un Oscar à Frances McDormand.

Parce que si Le Prêteur sur gages n’est pas le film le plus connu de l’immense Sidney Lumet, c’est l’un de ses meilleurs.

Parce que la silhouette qui ouvre et ferme le film est bien celle de Lilian Hellman herself!

Parce que le film devait coûter 2 millions de dollars et dépassera les 35 à l'arrivée.

Parce qu'Anthony Hopkins cède la place à Gaspard Ulliel, après avoir interprété à trois reprises Hannibal le cannibale.

Parce que Pio Marmaï fut nommé au César du meilleur acteur pour son rôle d'Antoine.

Parce que c'est une odyssée éblouissante dans les limbes Tokyoïtes !

Parce que Klapisch dresse le portrait de plusieurs parisiens dans une capitale sublimement filmée.

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce que Philippe Lioret signe un beau et profond thriller familial sur le thème de la filiation, offrant à Pierre Deladonchamps un rôle émouvant.

Parce que c'est le combat d’un jeune homme qui cherche à se reconstruire et le premier rôle d'Anthony Bajon (Chien de la casse).

C'est le dernier film d'une figure attachante et originale du cinéma européen, Solveig Anspach.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce qu'il s'agit sans aucun doute du plus beau rôle de Kristen Stewart, qui est de toutes les scènes, et même de tous les plans.

Parce qu’on rappelle bien qu’une Bruni faisait du cinéma avant l’autre. (et ici comme réalisatrice)

Parce que c’est une odyssée vaporeuse qui émeut de bout en bout à travers les regrets d'un homme au seuil de sa vie.

Parce que le réalisateur québécois signe une oeuvre bouleversante sur les mécanismes de Hollywood.

Parce que le réalisateur de Drunk signe un splendide mélodrame.

Parce que le cinéaste espagnol abandonne certains de ses gimmicks pour se concentrer sur l'essentiel : un récit fort qui n'exclue cependant pas son esthétique si reconnaissable...

Parce que Carlos Saura a déjà signé plusieurs films où il met en valeur la danse et notamment Les Noces de Sang et Carmen.

Parce que les mystères abondent dans ce film qui multiplie les apparitions comme les disparitions avec gourmandise et malice.

Parce que Xavier Dolan s'est entouré d'une bande de ses véritables amis pour tourner cette histoire tendre et cruelle. Une oeuvre émouvante et sensible portée par des comédiens complices.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que le réalisateur de Gladiator retourne au péplum en contant l’une des plus grandes légendes du monde.

Parce que le plus compliqué des effets spéciaux fut de reconstituer le soleil.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que, sélectionné en compétition officielle à la Berlinale 2020, Paula Beer y remporte l'Ours d'argent de la meilleure actrice.

Parce que le film de Jaume Balaguero, hommage à Fenêtre sur Cour, use du voyeurisme pour que le spectateur questionne tout ce qu'il voit.

Parce qu'après Le déclin de l’empire américain et Les Invasions barbares, Denys Arcand boucle avec brio, après 32 ans, son analyse fine de l'Amérique du Nord aujourd'hui.

Parce que la mélancolie américaine aura rarement été aussi bien filmée que par Wong Kar-wai.

Parce que c’est le retour en grâce d’un acteur qu’on adore, Brendan Fraser, récompensé aux Oscars.

Parce que le film interprété et produit par Reese Witherspoon donne envie de partir loin dans les montagnes et de respirer le grand air.

Parce que Colin Farrell, Irlandais pur jus (contrairement à Cate Blanchett qui est Australienne), y fait une courte apparition.

Parce que cette histoire vraie et passionnante raconte le combat d'un avocat contre un géant de l’industrie.

Parce que Claude Chabrol était passionné du roman de Flaubert depuis l'âge de 13 ans mais a attendu d'en avoir 60 pour le porter à l'écran.

Parce que Bob Dylan y est incarné par 6 acteurs différents (dont une femme).

Parce que ce mal aimé remake de Tim Burton porte malgré tout la patte du réalisateur.

Parce que Tim Burton s’attaque à une histoire (presque) vraie.

Parce qu'Edward aux mains d'argent est le monstre de Frankenstein de Tim Burton.

Parce qu'avec Tim Burton, poésie, terreur et humour s'entrechoquent toujours avec talent.

Parce que c'est l'histoire d'un cinéaste sans talent (Edward D. Wood Jr.), racontée par un artiste qui en a beaucoup (Tim Burton).

Parce que c'est la comédie historique italienne qui révèle Sergio Assisi.

Parce qu'il faut voir le regard aussi acerbe sans concession d'une réalisatrice sur les années mussoliniennes de l'Italie.

Parce que cette comédie italienne, aussi romantique que cruelle, offre une satire dé-capante du machisme.

Parce qu'au-delà de son récit autant comique que poignant, ce film choral longtemps resté inédit en France offre une vision extraordinaire de Milan.

Parce qu’il n’y a pas que Fellini, en Italie !

Parce que ce film est l'oeuvre d’une très grande dame de cinéma, injustement invisibilisée, Ida Lupino.

Parce que c'est le premier film d'Ida Lupino, comédienne britannique devenue une des premières femmes productrice-réalisatrice à Hollywood.

Parce que c'est une oeuvre documentée sur le handicap et le concept de résilience face à la société.

Parce que c'est un polar haletant inspiré un fait divers, par une des rares réalisatrices d'Hollywood, Ida Lupino.

Parce qu'avant la sortie du remake de Robert Eggers avec Lily-Rose Depp, regardons l'original de 1922 !

Parce que c'est l'un des films les plus tristes du monde et que la scène finale va vous hanter pendant des décennies.

Parce que de DePalma à Chabat en passant par Scola, la scène du landau a souvent été plagiée

Parce que Gabin et Marlène faillirent jouer dans ce 8ème film de Marcel Carné.

Parce que le film, Prix de la Bonne Humeur au festival de Cannes 1953 est fondateur pour le cinéma espagnol actuel et l’un des films préférés de Pedro Almodovar.

Parce que Marlene chante "Ich bin die fesche Lola, der liebling de saison".

Parce que n'oublions pas que la vedette du film Victor Sjostrom, 78 ans, était aussi un pionnier du cinéma suédois

Parce que c'est un classique du cinéma, peut-être même l'une des créations les plus folles de l'histoire du Septième Art.

Parce qu'avec son 5ème long métrage -et des vedettes américaines- Antonioni franchit une étape majeure dans sa carrière.

Parce que c'est l'une des nombreuses merveilles nées de la collaboration entre Prévert et Carné.

Parce que le titre renvoie à la carrière passée de Federico, sept films et deux courts qui comptent donc pour un demi !

Parce que Mastroianni incarne à merveille un homme brisé que l’amour rend impuissant, méprisé par une société viriliste qui glorifie ridiculement l’acte sexuel.

Parce que cette oeuvre douce-amère, portée par deux monuments du cinéma italien, dépeint parfaitement l’ambiguïté de l’être humain : son égoïsme, son amour-propre, sa tendresse.

Parce que l’alchimie entre Maria Schell et Marcello Mastroianni donne envie de tomber amoureux et de se perdre dans les rues de Livourne.

Parce que Sergio Leone signe l'un des plus grands westerns de l'histoire du cinéma.

Parce que John Ford propose un western sombre et mélancolique porté par deux immenses stars de l'époque : John Wayne et James Stewart.

Parce que cet opus plus mineur que les chefs-d ’oeuvres les plus panthéonisés du genre peut néanmoins prétendre au titre de parangon des westerns de l’âge d’or.

Parce que ce western atypique, psychologique et politique, mais au suspense tendu, se déroule en temps réel, comme en attestent les nombreux plans sur des horloges.

Parce que le légendaire et controversé général Custer méritait bien cette fresque plus symbolique que réaliste sur les errements des USA durant les guerres indiennes.

Parce que ce western est une des versions cinématographiques les plus méconnues d’une légende ambiguë de l’ouest.

Parce que El Dorado est la synthèse parfaite du génie d'Howard Hawks avec John Wayne, Robert Mitchum et James Caan en passeurs idéals.

Quel est le point commun entre Walter Brennan, Paul Newman et Pierre Perret ? Ils ont tous les trois interprété au cinéma le personnage historique du Juge Roy Bean.

Parce qu'une nouvelle fois, Miller illustre ses obsessions sur l'enfance, la nature, la sexualité, la solitude.

Parce que le film transpose Tchekhov en remplaçant le théâtre par le cinéma.

Parce que Patricia Highsmith, l'auteur du roman fut étonnée de voir ses personnages incarnés par Depardieu et Miou Miou

Parce que pour la seule et unique fois, Claude Miller s'attaquait au documentaire.

Parce que le personnage principal a le même nom que son interprète, la regrettée Juliet Berto, icône de la Nouvelle Vague vue chez Godard et Rivette avant de réaliser ses propres films.

Parce que le sujet de ce court métrage (la torture) lui a valu plusieurs mois d'interdiction de diffusion.

Parce qu'avec ce film, Miller découvrait les caméras portables et une nouvelle liberté.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que ce troisième et dernier court métrage réalisé par Claude Miller a été interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en raison de son antimilitarisme.

Parce que le film fut le premier que Lubitsch réalisa en couleurs.

Parce que considéré comme subversif par la commission des activités anti américaines, le film fut invisible aux USA jusque dans les 70's.

Parce que le film inspira jadis une savante analyse à Eric Rohmer.

Parce que de nombreux scénaristes ont participé à l'écriture des six sketches du film, parmi lesquels Buster Keaton et Billy Wilder, qui ne sont pourtant pas mentionnés au générique.

Parce que c’est le meilleur film tourné sur les coulisses d’Hollywood.

Parce que le film a été tourné en décors naturels à New York, en particulier dans le quartier de Little Italy, ce qui n'était pas si courant dans les années 1940.

Parce que Frank Capra faillit réaliser le film, avant de laisser la place au Français René Clair.

Parce que Jean Renoir a travaillé et vécu aux États-Unis dans les années 1940 pour échapper à l'occupation allemande en France.

Parce que la director's cut d'Erich von Stroheim durait au moins six heures mais qu'elle est malheureusement perdue.

Parce que ce mélodrame antinazi marque les retrouvailles du réalisateur Lewis Milestone et du romancier Erich Maria Remarque après les deux Oscars d'"À l'Ouest, rien de nouveau".

Parce qu'il faut se remettre dans la peau du public de l'époque... Voir Charlot (enfin, Charlie Chaplin) devenir un assassin, quel traumatisme !

Parce que c'est la dernière apparition de Charlot au cinéma... Un départ en beauté.

Parce que pour la première fois, Chaplin s'essayait vraiment au parlant

Parce que c'est le premier long métrage de Chaplin.

Parce que le film occasionna la plus longue préparation pour Chaplin, plus de 2 ans et demi

Parce que la scène de la dégustation de chaussures fit l'objet de 63 prises

Parce que le film fut interrompu plusieurs mois pour des raisons disons...personelles?

Parce que Chaplin hésitait a faire rire avec le sujet dramatique de la guerre, mais a finalement réalisé un de ses plus grands succès.

Parce que le film était le premier de Chaplin dans lequel il ne jouait pas

Parce que si son intrigue se déroule à New York, le film fut entièrement tourné à Londres

Parce que Charlie Chaplin partage la vedette avec un chien presque aussi drôle que lui.

Parce que c'est le seul film où Charlot n'est pas vagabond, a une famille et possède même une voiture.

Parce que Chaplin compare dans son autobiographie le tournage de ce film à "un arrachage de dents." Le résultat est pourtant excellent.

Parce que Jane Campion filme comme personne la passion amoureuse entre le poète anglais John Keats et sa fiancée Fanny Brawne.

Parce qu’il y a toutes les obsessions (et toute la virtuosité) de Jane Campion en seulement quinze minutes.

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce que tournage sur place a pris six mois, alors qu'on a l'impression que le film se déroule en 24 heures.

Parce que pour la première fois, un grand musée ouvrait ses coulisses à des caméras.

Parce que Nicolas Philibert n'imaginait pas, au départ, que son film comporterait autant de personnages.

Parce que le film revient trente ans plus tard dans l'endroit même où René Allio avait tourné son célèbre "Moi, Pierre Rivière..."

Parce que le film a été tourné au long cours entre 1991 et 1994, durant les travaux de réouverture de la grande galerie de Zoologie de Paris.

Parce que le film de Charlotte Silvera est aussi un témoignage sur l'univers carcéral des années 80

parce que ce documentaire est galvanisant dans sa façon de s'adresser aux jeunes pour leur parler des grandes avancées sociales de notre pays. Pédagogique sans être didactique, le film fait mouche.

Parce que Charlotte Sivera transforme son portrait en déclaration d'amitié

Parce que le film mêle l'amour de Paris, du cinéma et de l'adolescence