Parce qu’un road movie n’a jamais aussi bien porté son nom !

Parce que la chienne Lucy remporta au Festival de Cannes la prestigieuse... Palme Dog.

Parce que Julianne Moore est impayable en épouse scandinave raide et coincée.

Parce que dans ce thriller prenant et subtil, la réalisatrice July Jung dirige Bae Doona à qui elle confiera à nouveau le rôle d’une enquêtrice dans About Kim Sohee.

Parce que ce film d’épouvante, qui joue sur la figure du loup-garou, prouve que l’horreur naît parfois plus du son que de l’image.

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que le film parvient à renouveler le genre de la comédie familiale douce-amère

Parce que la réalisatrice a découvert son actrice principale après l'avoir vu danser.

Parce que ce mélodrame situé au Brésil confirme l’actrice portugaise Maria de Medeiros comme une cinéaste engagée.

Parce que le film s'inspire d'événements réels qui se sont produits lors de l'élection de Miss Monde en 1970.

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que la fête tourne au vinaigre dès le premier plan !

Parce que ce film road-trip indie est devenu un succès surprise de l'année 2006.

Parce que le Printemps arabe a fait fleurir des films puissants comme La Belle et la Meute.

Parce que c'est la rencontre au sommet de deux grandes actrices, Elizabeth Banks et Chloë Sévigny.

Parce que les regards honnêtes sur les faces, sombre comme lumineuse, de l'adolescence sont rares.

Parce qu’il est impossible de rester insensible à cette histoire touchante d’une prof d’éducation physique obligée de cacher sa sexualité pour garder son emploi et sa respectabilité dans l’Angleterre de Thatcher.

Parce que c'est une belle ode à l'indépendance et un modèle de comédie réussie.

Parce que cette épopée sociale et féministe montre les réalités quotidiennes d’un pays, l’Arabie Saoudite, encore enraciné dans ses lois patriarcales.

Parce que l'art abstrait peut donner lieu a des portraits très incarnés de figures aussi singulières que leurs oeuvres.

Parce que ce portrait de l’Iran entre totalement en écho avec la situation dramatique du pays, et notamment sur la condition des femmes.

Parce que ce film est à l’image d’un coucher de soleil, beau et triste, majestueux, intense, éphémère.

Parce que ce premier film d’une réalisatrice italienne rappelle les débuts de Sofia Coppola.

Parce que ce western urbain, drôle et ne manquant pas de mordant, est aussi une critique de l'immobilisme de la société italienne.

Parce que comme Valse Avec Bachir, ce film mêle avec brio le cinéma du réel et l’animation.

Parce que c'est une fable philosophique drôle et cruelle.

Parce que c'est un film sur la sororité, New-York et le skate, et que demander de plus ?

Parce que Come as you are se base sur un best-seller de fiction, qui lui repose sur une réalité, les camps de rééducation chrétiens sensés guérir les homos de leurs sexualité.

Parce que c’est à la fois le portrait d’un Brésil tiraillé dans son rapport à l’homosexualité et une histoire familiale touchante.

Parce que ce long-métrage, porté devant et derrière la caméra par Elena Martín, raconte avec intelligence les troubles d’une sexualité aux racines profondes.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Parce que, dans la masse de tous les slashers produits dans les les années 80, celui-ci a eu l'indécence de devenir culte.

Parce que le premier film de Sofia Coppola était une déclaration d'amour à l'adolescence.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce que le quatrième film de Sofia Coppola, Lion d'or à Venise, est sans aucun doute son grand chef-d'oeuvre.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce c'était la 1ère fois depuis 60 ans qu'un film était tourné dans l'enceinte du Parlement britannique.

Parce que Jane Campion filme comme personne la passion amoureuse entre le poète anglais John Keats et sa fiancée Fanny Brawne.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que c'est un film féministe sur une icône américaine, sorti en pleine révolution #metoo.

Parce que cette fable émancipatrice milite pour la scolarisation des femmes indiennes.

Parce que cette petite merveille indépendant a reçu le Grand Prix au Festival du cinéma américain de Deauville 2002.

Parce que c'est une histoire presque vraie, celle de la réalisatrice, et de son apprentissage de l'injustice.

Parce que ce film d'épouvante dénonce la pratique bien réelle de la fracturation hydraulique, qui est considérée comme dangereuse pour l'environnement.

Parce que Sofia Coppola livre le point de vue féminin dans une histoire déjà virilement traitée par Don Siegel et Clint Eastwood.

Parce que ce film pop et original raconte le passage de l'adolescence à l'âge adulte de Marie-Antoinette.

Parce que c'est la vraie maison de la vraie Paris Hilton qui apparaît dans le film.

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que c'est la quinzième adaptation cinématographique de la célèbre pièce, mais aussi l'une des plus ambitieuses.

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que des retrouvailles sont toujours plus belles sur un air de tango.

Parce qu’à partir de cette thématique ancrée dans le fantastique, celle de l’ami imaginaire, l’Australienne Del Katryn Barton parvient à tirer une fable sociologique extrêmement concrète...

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce qu'il faut voir Emmanuelle Bercot dans le rôle qui lui a valu un prix d'interprétation à Cannes.

Parce qu'il faut découvrir le talent et la beauté de Lou Lampros.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que les séquences finales alternent des plans purement documentaires dans lesquels ont été intégrés les passages de fiction.

Parce qu'Hélène Angel nous fait réaliser à quel point l'école marque nos vies.

Parce que Lulu, femme nue est un film sur la liberté d’être soi, et que cela n’a pas de prix !

Parce que pour son premier film, Anne Le Ny signe une histoire d'amour naissante, drôle et grave à la fois.

Parce que Marjane Satrapi a porté à l'écran sa bande dessinée éponyme, qui est elle-même basée sur ses souvenirs d'enfance et d'adolescence.

Parce que, certes méconnu, il s’agit pourtant de l’un des plus grands et des plus intenses rôles de Karin Viard, l’une de nos plus importantes actrices.

Parce que le travail sur le son est extrêmement important dans le film : évocateur, insupportable ou diffus, il est un personnage essentiel du récit...

Vera Belmont, réalisatrice de ROUGE BAISER et MARQUISE, réussit son incursion dans l'animation.

Parce que la vie regardée à hauteur d'enfant aura toujours des choses à nous apprendre.

Parce qu'on y retrouve un trio inédit qui va aller de situations délicates en révélations inattendues...

Parce que ce documentaire remonte le fil d’une carrière pas banale et haute en couleur : celle d’un catcheur mexicain travesti.

C'est le dernier film d'une figure attachante et originale du cinéma européen, Solveig Anspach.

Parce que ce film touchant en appelle autant au devoir de mémoire qu'au sens de l'aventure chez des gamins frappés par l'Histoire.

Parce que le scénario est tiré du récit authentique de Madeleine Pauliac, résistante et médecin-chef à l'Hôpital français de Varsovie.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que c'est sûrement le plus grand film du tandem Jaoui-Bacri.

Parce que, sans jamais tomber dans le pathos, le film d'Ounie Lecomte explore avec talent les douleurs d'enfance, et parce que Céline Salette est magistrale.

Parce qu’on rappelle bien qu’une Bruni faisait du cinéma avant l’autre. (et ici comme réalisatrice)

Parce que c'est un grand classique des fêtes, servi par un casting de grand luxe.

Parce que pour la reconstitution impeccable du milieu des tournois d'échecs.

Parce que l'idée de ce thriller horrifique percute avec bonheur le style visuel unique de la dessinatrice.

Parce que Yolande Moreau réalise un film poétique et singulier.

Parce que Marguerite Duras trouvait son film raté.

Parce que comme son titre, le moyen-métrage d’Alice Guy raconte l’histoire d’une survivante.

Parce que c’est, en 1912, un semi-western muet signé d’Alice Guy filmé aussi bien en studios qu’en extérieur.

Parce c’est un mélodrame très poétique tourné aux Etats-Unis, en 1912, par la française Alice Guy.

Parce que la réalisatrice pionnière Alice Guy signe ici un court-métrage novateur au scénario mêlant action, humour et romance.

Parce que ce mélodrame montre que dès 1912, la réalisatrice française Alice Guy utilisait des effets spéciaux.

Parce que ce court-métrage d’Alice Guy, première réalisatrice de l’histoire du cinéma, est une course contre la montre qui a inspiré Buster Keaton.

Parce que cette adaptation d’un poème de Goethe est un voyage dans l'irréel et le fantastique signé par l’une des premières réalisatrices françaises.

Parce que les ondulations délicates de Mary Ellen Bute ont un charme sensuel et hypnotique irrésistible.

Parce que c’est un film important dans l’histoire du cinéma, avec la première apparition du personnage de Charlot à l’écran.

Parce que ce proto-film noir est l’ultime film de l’une des rares réalisatrices de l’âge d’or hollywoodien.

Parce que c'est un film à la forte portée sociale, l'un des derniers réalisés par l'une des premières réalisatrice américaines à qui la française Alice Guy avait ouvert les portes du cinéma.

Parce que ce film muet datant de 1923 est aussi un marqueur de l’Histoire du cinéma.

Parce qu'Alice Guy est une artiste fondamentale : la première réalisatrice de l'histoire, et une pionnière du cinéma de fiction.

Parce que sa réalisatrice, l’actrice Ana Mariscal, considérait cette chronique estivale sur la fin de l’innocence, comme l’une de ses oeuvres les plus personnelles.

Parce ce qu'avec un regard aiguisé et une touche ironique, La Quiniela est un portrait incisif sur l'obsession des paris, qui témoigne de l'impact durable de la méconnue actrice/réalisatrice Ana Mariscal dans le paysage cinématographique espagnol des anné

Parce qu’il est nécessaire de redécouvrir ce pan oublié du cinéma espagnol, politique et émouvant.

Parce que ce film est realisé par une femme (et ce n’est pas si courant à l’époque).

Parce que ce film est l'oeuvre d’une très grande dame de cinéma, injustement invisibilisée, Ida Lupino.

Parce que c'est un polar haletant inspiré un fait divers, par une des rares réalisatrices d'Hollywood, Ida Lupino.

Parce que c'est une oeuvre documentée sur le handicap et le concept de résilience face à la société.

Parce que c'est le premier film d'Ida Lupino, comédienne britannique devenue une des premières femmes productrice-réalisatrice à Hollywood.

Parce que cette histoire d’amour subversive, est le brillant dernier long métrage mis en images par Kinuyo Tanaka.

Parce que cette biographie de Hiro Saga, est l’occasion pour Kinuyo Tanaka de livrer une grande fresque équipe, n’ayant rien à envier aux classiques du genre.

Parce que ce poignant mélodrame social, particulièrement engagé, centré sur le parcours d’une prostituée, est l’un des plus grands films de Kinuyo Tanaka.

Parce que la réalisatrice Kinuyo Tanaka offre un magnifique portrait de femme libre et irrévérencieuse, très osé dans le contexte du Japon des années 1950.

Parce que oui, ça existe des films romantiques japonais féministes dans les années 1950.

Parce que ce drame historique d’une saisissante acuité articule une poignante histoire d’amour perdu à une empreinte documentaire du Japon d’après-guerre.

Parce que Muriel Box réalise l'histoire de sa vie.

Parce que ce classique de la comédie britannique signé Muriel Box était jusqu’à présent resté inédit en France.

Parce que The Truth About Women est un récit d’émancipation féminine, qui loue la liberté sentimentale et sexuelle des femmes à l’époque de leur objectification omniprésente.

Parce qu’un film noir britannique et réalisée par une femme, ça ne court pas les rues !

Parce que c'est une comédie militaire britannique réalisée par une femme et tournée en France sur un navire de la flotte américaine.

Parce que le portrait d'une figure singulière de la littérature suédoise est aussi un pamphlet féministe enflammé.

Parce que la réalisatrice aborde la sexualité sans fausse pudeur. En 1966, le Festival de Venise a interdit de projection publique cet audacieux portrait de famille, redoutant un scandale !

Parce cette puissante épopée féministe située au sein de la société suédoise des années 60 et au style très “Nouvelle Vague” est défendue par trois grandes actrices Bergmanienne.

Parce que Les amoureux est le premier film de fiction en tant que réalisatrice de Mai Zetterling.

Parce qu'au-delà de son récit autant comique que poignant, ce film choral longtemps resté inédit en France offre une vision extraordinaire de Milan.

Parce que cette comédie italienne, aussi romantique que cruelle, offre une satire dé-capante du machisme.

Parce qu'il faut voir le regard aussi acerbe sans concession d'une réalisatrice sur les années mussoliniennes de l'Italie.

Parce qu’il n’y a pas que Fellini, en Italie !

Parce que c'est la comédie historique italienne qui révèle Sergio Assisi.