Les plus vus

Parce que le titre du film renvoie à la phrase de Rommel le 22 avril 1944 en Normandie.

Parce que Sergio Corbucci voulait raconter le grand Ouest différemment en plaçant son action dans de sublimes décors enneigés.

Parce que le premier volet de la trilogie Dromard se déroule non pas en Corse, non pas à Hong Kong mais tout simplement en Bretagne.

Parce que cette histoire de faussaires s'est aussi appelée "Reproduction interdite".

Parce que le titre renvoie à la carrière passée de Federico, sept films et deux courts qui comptent donc pour un demi !

Parce que le film devait coûter 2 millions de dollars et dépassera les 35 à l'arrivée.

Parce qu'on peut y deviner à la 61ème minute, en figurant, Charles Aznavour, 15 ans à peine.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que c'est ce classique d'Antonioni qui a fait de Monica Vitti une star internationale

Parce que le film inspira jadis une savante analyse à Eric Rohmer.

Parce que Jean-Paul Sartre est très lointainement à l'origine du scénario.

Parce que le premier volet de la trilogie Dromard se déroule non pas en Corse, non pas à Hong Kong mais tout simplement en Bretagne.

Parce qu'avec Simenon et Balzac, Pierre Very fut un des plus adaptés sous l'Occupation

Parce que c'est la septième fois (sur treize au total) qu'Eddie Constantine jouait Lemmy Caution.

parce qu'on voit Raimu en cavale et en capitaine d'industrie sous les yeux de Pauline Carton.

Parce qu'on peut y deviner à la 61ème minute, en figurant, Charles Aznavour, 15 ans à peine.

Parce que cette histoire de valise piégée nous rappelle la réflexion d'Hitchcock à François Truffaut : le suspense, c'est lorsqu'il y a une bombe mais qu'on ignore à quel moment elle va exploser.

Parce que cette histoire de faussaires s'est aussi appelée "Reproduction interdite".

Parce que Michel Simon a fait de Boudu un personnage différent de celui d'origine

Parce que Becker y livre une farce virulente et réaliste sur le monde paysan de l'époque.

Parce que la plage du titre est celle de Barneville Carteret (Manche)

Parce que, selon Jean Cocteau, « il y a le cinéma d'avant et après La Roue, comme il y a la peinture d'avant et après Picasso »

Parce que, selon Jean Cocteau, « il y a le cinéma d'avant et après La Roue, comme il y a la peinture d'avant et après Picasso »

Parce que, selon Jean Cocteau, « il y a le cinéma d'avant et après La Roue, comme il y a la peinture d'avant et après Picasso »

Parce que, selon Jean Cocteau, « il y a le cinéma d'avant et après La Roue, comme il y a la peinture d'avant et après Picasso »

Parce que le paquebot du film avait déjà été utilisé pour une précédente version du Titanic.

Parce que Marilyn et Montand ont respecté le titre anglais du film ("Let's make love").

Parce que Marylin a vraiment failli se noyer dans la rivière du titre.

Parce que c'est le 15 septembre 1954 que fut tournée la mémorable scène de la bouche de métro.

Parce que c'est le premier film tourné en CinemaScope.

Parce que c'est une comédie parfaite, aussi drôle que transgressive, aussi musicale que travestie, avec sa célèbre réplique "nobody's perfect".

Parce que Niagara, pardonnez nous le spoiler, est le seul film où Marilyn Monroe meurt à l’écran.

Parce que le magnétisme dévastateur de Marilyn fait totalement oublier qu'il s'agit d'une oeuvre plutôt mineure dans sa filmographie

Parce que le dernier des 3 films italiens de Jean-Paul Belmondo marque la rencontre avec une autre légende, Claudia Cardinale, 2 ans avant Cartouche

Parce que c'est ce classique d'Antonioni qui a fait de Monica Vitti une star internationale

Parce que ce film, incompris à sa sortie, est aujourd'hui considéré comme un des plus grands films du cinéma de genre.

Parce que c'est Peter Sellers en personne qui fait la voix des oiseaux de la vieille dame

Parce que ce film muet allemand, consacré à l'histoire de France, fut un succès international lors de sa sortie en 1919.

Parce que Marlene chante "Ich bin die fesche Lola, der liebling de saison".

Parce qu'avec son 5ème long métrage -et des vedettes américaines- Antonioni franchit une étape majeure dans sa carrière.

Parce que c'est un classique du cinéma, peut-être même l'une des créations les plus folles de l'histoire du Septième Art.

Parce qu'avant la sortie du remake de Robert Eggers avec Lily-Rose Depp, regardons l'original de 1922 !

Parce que n'oublions pas que la vedette du film Victor Sjostrom, 78 ans, était aussi un pionnier du cinéma suédois

Parce que de DePalma à Chabat en passant par Scola, la scène du landau a souvent été plagiée

Parce que c'est l'un des films les plus tristes du monde et que la scène finale va vous hanter pendant des décennies.

Parce qu'à l'orée du parlant, cet immense succès public fit de Gaby Morlay une vedette de l'écran après la scène.

Parce que Louis de Funès aurait été figurant dans ce film, ce qui en ferait sa première apparition à l’écran à l’âge de dix-neuf ans.

Parce que le méconnu film noir Au nom de la loi donne un aperçu documentaire du Paris des bas-fonds des années 1930.

Parce que le film réunit, pour une unique fois, Raimu, Gabin et Fernandel.

Parce qu'on peut y voir danser Gaby Morlay, tant bien que mal.

Parce que ce film court est un des premiers rôles de Fernandel.

Parce que le tournage - sur un vrai bateau - posa des problèmes techniques que Maurice Tourneur adora surmonter.

Parce que le cinéma français est muni de son quota de solides polars oubliés (celui ci ayant été tourné sous l'Occupation).

Parce que l'armée refusa de contribuer à ce qui la replongeait dans le chaos

Parce que c'est la seconde adaptation par Baroncelli de l'oeuvre d'Émile Zola, le réalisateur en ayant déjà tiré une première version muette dix ans plus tôt.

Parce que le film français adaptait Arthur Miller et fut filmé en Allemagne de l'Est

Parce que il est intéressant de voir les débuts comme réalisateur de François Leterrier, comédien de Bresson qui s'essayait à Roger Vailland (avant de passer à Giono).

Parce qu'il s'agit de la grande oeuvre de Fedor Ozep, cinéaste russe exilé adaptant Dostoïevski dans les studios français.

Parce qu'il s'agit du seul scénario original écrit par Antoine de Saint Exupéry.

Parce que Louis Jourdan,interprète de Dumas (Dantès!) sait aussi intègrer Jules Verne

Parce que cette adaptation de Pierre Benoit (avec Danielle D) fut vraiment tournée au Maroc

Parce que les dialogues de Prévert se nourissent de Shakespeare (et pour Anouk Aimée bien sûr).

Parce que Jeanson et Duvivier se moquent gentiment du cinéma

Parce que cette oeuvre belle et dérangeante fut récompensée du Lion d’or à Venise en 1967.

Parce que ce chef-d’oeuvre de Luis Buñuel présente l’un des personnages féminins les plus fascinants de l’histoire du cinéma.

Parce que c'est l'un des plus beaux et impressionnants films sur la Résistance durant la Seconde Guerre Mondiale.

Parce qu'il fut question un temps que Pagnol coréalise le film avec Cocteau

Parce que le Paris de Carné Prévert est "tout petit pour ceux qui s'aiment d'un grand amour"

Parce que Gabin et Marlène faillirent jouer dans ce 8ème film de Marcel Carné.

Parce que c'est l'une des nombreuses merveilles nées de la collaboration entre Prévert et Carné.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que c'est l'une des plus belles, audacieuses et réussies adaptation du classique de Victor Hugo.

Parce que Jean-Luc Godard, parce que Michel Legrand, parce qu'Anna Karina, parce que Prix spécial du jury et prix Pasinetti au Festival de Venise.

Parce que plus de 85 ans après sa sortie, ce chef d’oeuvre de Marcel Carné reste l’un des repères fondateurs du cinéma français en alliant tradition et modernité...

Parce qu’entre les dialogues de Michel Audiard, la mise en scène de Gilles Grangier et la générosité de Jean Gabin et Bernard Blier, on ne sait plus où donner de la tête.

Parce qu'on ne change pas une équipe qui gagne : André Hunebelle avait déjà dirigé Jean Marais à trois reprises (notamment dans Le Bossu) et allait ensuite le retrouver pour Fantômas et ses suites.

Parce que cette comédie romantique légère et mélancolique contient l’une des scènes les plus pudiquement érotiques du cinéma français.

Parce que c’est le film référence sur le marché noir, durant l’Occupation.

Parce que Jean Gabin, 34 ans, chante "Quand on s'promène au bord de l'eau !".

Parce que Micheline Presle y tient deux rôle et qu'elle y est doublement émouvante

Parce que c'est le film qui lança définitivement la carrière de Jean Gabin

Parce qu'il s'agit d'un mélodrame aussi brillant que méconnu mais aussi pour redécouvrir Gaby Morlay, concentré de vitalité.

Parce que la jungle de Malaisie a été reconstituée avec soin en région parisienne.

Parce que c'est un film très court et remarqué pour l'élégance de ses flashbacks.

Parce que même octogénaire et un peu plus, cette version du roman de Hugo est sans doute la meilleure.

Parce que pour Orson Welles, Raimu était le plus grand acteur du monde

Parce que tous ces acteurs français jouent des québecois.

Parce que Joseph Kessel adapta son propre roman et Litvak en fit son propre remake.

Parce que Raimu en truand toulonnais qui évolue dans des décors reconstitués à Berlin et non sur la Côte d'azur.

Parce que c'est un Scarface à la marseillaise dont on redécouvre la modernité tous les dix ans.

Parce que sa réalisatrice, l’actrice Ana Mariscal, considérait cette chronique estivale sur la fin de l’innocence, comme l’une de ses oeuvres les plus personnelles.

Parce ce qu'avec un regard aiguisé et une touche ironique, La Quiniela est un portrait incisif sur l'obsession des paris, qui témoigne de l'impact durable de la méconnue actrice/réalisatrice Ana Mariscal dans le paysage cinématographique espagnol des anné

Parce qu’il est nécessaire de redécouvrir ce pan oublié du cinéma espagnol, politique et émouvant.

Parce que cette comédie douce amère réalisée par une femme en 1953 est un chef d'oeuvre du cinéma néo-réaliste espagnol.

Parce qu’il n’y a pas que Fellini, en Italie !

Parce que John Ford choisit de tourner son film sans maquillage ni parfum

Parce que Sydney Pollack décide d’aborder les conséquences dramatiques de la grande dépression des années 30 par le biais d’un banal concours de danse comme il en existait tant à travers l’Amérique.

Parce que derrière la caméra se cache Don Siegel, réalisateur de Dirty Harry et l'un des plus grands cinéastes des années 60 et 70.

Parce que si Le Prêteur sur gages n’est pas le film le plus connu de l’immense Sidney Lumet, c’est l’un de ses meilleurs.

Parce que le titre du film renvoie à la phrase de Rommel le 22 avril 1944 en Normandie.

Parce que ce portrait sans concession de la pauvreté est toujours aussi grinçant 40 ans plus tard.

Parce que le maître Billy Wilder s’aventure ici dans le film de guerre et de prisonniers sans rien perdre du mordant de ses comédies culte.

Parce qu'Un jour parmi tant d'autres ose un regard différent sur la guerre, sans lyrisme ni héroïsme.

Parce que cette comédie chorale sur les déboires d’une bande de ragazzi en goguette à Paris allie potacherie brat pack, délicatesse sentimentale et échos néoréalistes.

Parce que le film est l'oncle américain de la Nouvelle Vague, des 400 coups et d'A bout de souffle.

Parce que le film, Prix de la Bonne Humeur au festival de Cannes 1953 est fondateur pour le cinéma espagnol actuel et l’un des films préférés de Pedro Almodovar.

Parce que le film a, en fait, été tourné essentiellement à Hollywood.

Premier chef-d'oeuvre de Robert Bresson, annonçant déjà toute l'exigence de son esthétique.

Parce que l’alchimie entre Maria Schell et Marcello Mastroianni donne envie de tomber amoureux et de se perdre dans les rues de Livourne.

Parce que le film devait coûter 2 millions de dollars et dépassera les 35 à l'arrivée.

Parce que César conclut magnifiquement la trilogie marseillaise phare du cinéma parlant français.

Parce que c'est un monument de l'oeuvre de Pagnol, l'un des films phares de sa trilogie marseillaise.

Parce que ce second volet de la trilogie marseillaise, bénéficiant de beaucoup plus de moyens que le premier, est sans doute le plus touchant et abouti visuellement.

Parce que Pagnol associe mélodrame et satire sociale dans un film au doux parfum de Provence, livrant une réflexion d’une étonnante modernité, appelant à l’acceptation et l’émancipation des femmes dans notre société.

Parce que derrière cette comédie à succès avec Fernandel se cache une satire mordante et truculente des politiciens.

Parce que Manon des sources et Ugolin forment sans doute la plus riche fresque provençale peinte par Marcel Pagnol.

Parce que le verbe de Marcel Pagnol est tout à fait unique.

Parce que ce grand classique de Pagnol, avec Raimu dans le rôle-titre, fit l’admiration d’Orson Welles, excusez du peu.

Parce que l'histoire a par la suite été adaptée en pièces de théâtre, et en un nouveau film par Daniel Auteuil en 2011.

Parce que Fernandel montre toute l'étendue de son registre dans ce film où l'on rit beaucoup mais où le coeur se serre aussi souvent.

Parce que ce conte moderne, rétif au pittoresque méridional et structuré par des personnages ambigus, est une exception dans la filmographie de Marcel Pagnol.

Parce que sans le Django de Corbucci, pas de Tarantino, ou presque.

Parce que Sergio Corbucci voulait raconter le grand Ouest différemment en plaçant son action dans de sublimes décors enneigés.

Parce que même si le réalisateur, Mario Caiano, manquait de moyens, certaines séquences ne manquent en revanche pas d'audace.

Parce que Sergio Leone signe l'un des plus grands westerns de l'histoire du cinéma.

Parce que cet opus plus mineur que les chefs-d ’oeuvres les plus panthéonisés du genre peut néanmoins prétendre au titre de parangon des westerns de l’âge d’or.

Parce que John Ford propose un western sombre et mélancolique porté par deux immenses stars de l'époque : John Wayne et James Stewart.

Parce que ce n’est pas le John Wayne le plus connu, et pourtant, ikl s’agit de l’un de ses plus drôles.

Parce que ce western est une des versions cinématographiques les plus méconnues d’une légende ambiguë de l’ouest.

Parce que ce western engagé marque la rencontre entre le réalisateur de L’homme qui rétrécit et l’une des icônes de la Blaxploitation.

Parce que le légendaire et controversé général Custer méritait bien cette fresque plus symbolique que réaliste sur les errements des USA durant les guerres indiennes.

Parce que El Dorado est la synthèse parfaite du génie d'Howard Hawks avec John Wayne, Robert Mitchum et James Caan en passeurs idéals.

Parce que le film retrace pas moins de 3 décennies de la carrière du grand jazzman Ornette Coleman.

Parce que Portrait of Jason est une tentative fascinante de percer le mystère d’un personnage qui a passé sa vie à se dissimuler derrière les apparences.

Parce que ce film dans lequel on entend sept fois le mot"shit" eut beaucoup de mal à obtenir son visa de diffusion.

Parce que la réalisatrice aborde la sexualité sans fausse pudeur. En 1966, le Festival de Venise a interdit de projection publique cet audacieux portrait de famille, redoutant un scandale !

Parce que Les amoureux est le premier film de fiction en tant que réalisatrice de Mai Zetterling.

Parce cette puissante épopée féministe située au sein de la société suédoise des années 60 et au style très “Nouvelle Vague” est défendue par trois grandes actrices Bergmanienne.

Parce que ce film est l'oeuvre d’une très grande dame de cinéma, injustement invisibilisée, Ida Lupino.

Parce que c'est un polar haletant inspiré un fait divers, par une des rares réalisatrices d'Hollywood, Ida Lupino.

Parce que c'est le premier film d'Ida Lupino, comédienne britannique devenue une des premières femmes productrice-réalisatrice à Hollywood.

Parce que c'est une oeuvre documentée sur le handicap et le concept de résilience face à la société.

Parce que ce proto-film noir est l’ultime film de l’une des rares réalisatrices de l’âge d’or hollywoodien.

Parce que c'est un film à la forte portée sociale, l'un des derniers réalisés par l'une des premières réalisatrice américaines à qui la française Alice Guy avait ouvert les portes du cinéma.

Parce que c’est, en 1912, un semi-western muet signé d’Alice Guy filmé aussi bien en studios qu’en extérieur.

Parce que ce mélodrame montre que dès 1912, la réalisatrice française Alice Guy utilisait des effets spéciaux.

Parce que comme son titre, le moyen-métrage d’Alice Guy raconte l’histoire d’une survivante.

Parce qu'Alice Guy est une artiste fondamentale : la première réalisatrice de l'histoire, et une pionnière du cinéma de fiction.

Parce c’est un mélodrame très poétique tourné aux Etats-Unis, en 1912, par la française Alice Guy.

Parce que la réalisatrice pionnière Alice Guy signe ici un court-métrage novateur au scénario mêlant action, humour et romance.

Parce que c’est un mélodrame palpitant réalisé par une pionnière du cinéma français.

Parce que ce film muet datant de 1923 est aussi un marqueur de l’Histoire du cinéma.

Parce que cette adaptation d’un poème de Goethe est un voyage dans l'irréel et le fantastique signé par l’une des premières réalisatrices françaises.

Parce que c’est un film important dans l’histoire du cinéma, avec la première apparition du personnage de Charlot à l’écran.

Parce que ce court-métrage d’Alice Guy, première réalisatrice de l’histoire du cinéma, est une course contre la montre qui a inspiré Buster Keaton.

Parce que les ondulations délicates de Mary Ellen Bute ont un charme sensuel et hypnotique irrésistible.

Parce que oui, ça existe des films romantiques japonais féministes dans les années 1950.

Parce que la réalisatrice Kinuyo Tanaka offre un magnifique portrait de femme libre et irrévérencieuse, très osé dans le contexte du Japon des années 1950.

Parce que ce poignant mélodrame social, particulièrement engagé, centré sur le parcours d’une prostituée, est l’un des plus grands films de Kinuyo Tanaka.

Parce que cette histoire d’amour subversive, est le brillant dernier long métrage mis en images par Kinuyo Tanaka.

Parce que ce drame historique d’une saisissante acuité articule une poignante histoire d’amour perdu à une empreinte documentaire du Japon d’après-guerre.

Parce que cette biographie de Hiro Saga, est l’occasion pour Kinuyo Tanaka de livrer une grande fresque équipe, n’ayant rien à envier aux classiques du genre.

Parce que Muriel Box réalise l'histoire de sa vie.

Parce que ce classique de la comédie britannique signé Muriel Box était jusqu’à présent resté inédit en France.

Parce que The Truth About Women est un récit d’émancipation féminine, qui loue la liberté sentimentale et sexuelle des femmes à l’époque de leur objectification omniprésente.

Parce qu’un film noir britannique et réalisée par une femme, ça ne court pas les rues !

Parce que c'est une comédie militaire britannique réalisée par une femme et tournée en France sur un navire de la flotte américaine.

Parce que cette comédie italienne poussa le pape Paul VI à s'opposer au changement de la loi sur le divorce.

Parce que le titre renvoie à la carrière passée de Federico, sept films et deux courts qui comptent donc pour un demi !

Parce que Mastroianni incarne à merveille un homme brisé que l’amour rend impuissant, méprisé par une société viriliste qui glorifie ridiculement l’acte sexuel.

Parce que cette oeuvre douce-amère, portée par deux monuments du cinéma italien, dépeint parfaitement l’ambiguïté de l’être humain : son égoïsme, son amour-propre, sa tendresse.

Parce que ce western atypique, psychologique et politique, mais au suspense tendu, se déroule en temps réel, comme en attestent les nombreux plans sur des horloges.

Parce que la scène de la tempête de neige aurait été réalisée par le grand John Ford, qui n'est pas crédité au générique.

Parce que la chanson "The Cowboy and the Lady" a été nommée à l'Oscar.

Parce que l’actrice ukrainienne Anna Sten avait été lancée à Hollywood comme la nouvelle Greta Garbo.

Parce que la légende du base-ball Babe Ruth interprète son propre rôle dans ce biopic de son compagnon de jeu Lou Gehrig.

Quel est le point commun entre Walter Brennan, Paul Newman et Pierre Perret ? Ils ont tous les trois interprété au cinéma le personnage historique du Juge Roy Bean.

Parce que Billy Wilder était déjà réalisateur lorsqu'il a écrit le scénario de ce classique de la comédie hollywoodienne.

Parce que c’est le meilleur film tourné sur les coulisses d’Hollywood.

Parce que le film a été tourné en décors naturels à New York, en particulier dans le quartier de Little Italy, ce qui n'était pas si courant dans les années 1940.

Parce que Jean Renoir a travaillé et vécu aux États-Unis dans les années 1940 pour échapper à l'occupation allemande en France.

Parce que la director's cut d'Erich von Stroheim durait au moins six heures mais qu'elle est malheureusement perdue.

Parce que le film fut le premier que Lubitsch réalisa en couleurs.

Parce que considéré comme subversif par la commission des activités anti américaines, le film fut invisible aux USA jusque dans les 70's.

Parce que le film inspira jadis une savante analyse à Eric Rohmer.

Parce que de nombreux scénaristes ont participé à l'écriture des six sketches du film, parmi lesquels Buster Keaton et Billy Wilder, qui ne sont pourtant pas mentionnés au générique.

Parce que ce mélodrame antinazi marque les retrouvailles du réalisateur Lewis Milestone et du romancier Erich Maria Remarque après les deux Oscars d'"À l'Ouest, rien de nouveau".

Parce que Frank Capra faillit réaliser le film, avant de laisser la place au Français René Clair.

Parce que pour la première fois, Chaplin s'essayait vraiment au parlant

Parce qu'il faut se remettre dans la peau du public de l'époque... Voir Charlot (enfin, Charlie Chaplin) devenir un assassin, quel traumatisme !

Parce que c'est la dernière apparition de Charlot au cinéma... Un départ en beauté.

Parce que le film occasionna la plus longue préparation pour Chaplin, plus de 2 ans et demi

Parce que c'est le premier long métrage de Chaplin.

Parce que Chaplin hésitait a faire rire avec le sujet dramatique de la guerre, mais a finalement réalisé un de ses plus grands succès.

Parce que le film était le premier de Chaplin dans lequel il ne jouait pas

Parce que la scène de la dégustation de chaussures fit l'objet de 63 prises

Parce que le film fut interrompu plusieurs mois pour des raisons disons...personelles?

Parce que Charlie Chaplin partage la vedette avec un chien presque aussi drôle que lui.

Parce que si son intrigue se déroule à New York, le film fut entièrement tourné à Londres

Parce que c'est le seul film où Charlot n'est pas vagabond, a une famille et possède même une voiture.

Parce que Chaplin compare dans son autobiographie le tournage de ce film à "un arrachage de dents." Le résultat est pourtant excellent.

Parce que ce court métrage de Georges Méliès est une oeuvre majeure du 7ème art.

Pour des fantômes année 1897 et en couleurs !

Pour le voyage vers le soleil

Pour ces scènes à trucs et têtes coupées

Pour les potions hallucinogènes

Pour le raid Paris-Monte Carlo en 2 heures

Pour Barbe Bleue et Faust version Meliès

Pour le conte féérique avec la bergère

Pour y trouver Jeanne d'Arc et François 1er

Pour les mille et une nuits version Méliès

Pour le tunnel sous la Manche, rêvé en 1907

Pour les strip-tease chastes du jeune cinéma

Pour la fée Carabosse en 1906 et en couleurs

Parce que ce court-métrage de Georges Méliès offre une vision complètement folle du Baron de Münchhausen.

Pour les diables "truqués"

Pour l'obèse transformé en mince et élégant

Parce que ce court-métrage est un hommage de Georges Méliès à l’art de la prestidigitation.

Parce que ce court-métrage de Georges Méliès est une merveille d’aventures steampunk, véritable miroir du Voyage dans la lune.

Parce que trucs et féerie se conjugent ainsi

Pour Jack le ramoneur... et les multi trucs !

Parce que ce court-métrage de Georges Méliès est considéré comme le 1er film d’horreur de l’histoire du cinéma.

Pour l'éclipse de soleil en pleine lune !

Pour l'affaire Dreyfus vue par Méliès

Pour le chien transformé en femme, puis poule!

Pour le célèbre trucage du The Vanishing Lady

Parce qu'une partie des scènes proviennent d'un autre film de Lotte Reiniger, "Les Aventures du prince Ahmed" (1926), dans lequel apparaissaient déjà les personnages d'Aladin et du génie.

Parce que ce 1er long métrage d'animation (1926) fut source d'inspiration pour Walt Disney.

Parce que cette Blanche-Neige, inspirée d'un conte de Grimm, ne doit pas être confondue avec celle aux sept nains.

Parce que cette oeuvre sur la naissance du Christ est divinement poétique, grâce à la technique des ombres chinoises.

Parce que, comme souvent, Lotte Reiniger partage le crédit de réalisation avec son mari Carl Koch, un artiste qui fut par ailleurs très proche de Jean Renoir.

Parce que l’histoire de Cendrillon a connu bien des versions littéraires : celle de l’italien Giambattista Basile, celle du Français Charles Perrault et celle des Allemands les frères Grimm.

Parce qu'on connait bien les adaptations de contes de Lotte Reiniger, mais on sait moins qu'elle a également plusieurs fois mis en images (et en ombres) des épisodes La Bible (ici un extrait de l'Évangile selon Saint Luc).

Parce que Lotte Reingier n'est pas la seule a avoir porté à l'écran le conte d'Hansel et Gretel : en 1982, il a aussi été adapté à la télévision américaine par Tim Burton.

Parce que ce court documentaire nous révèle les techniques de la pionnière du cinéma d'animation Lotte Reiniger.

Parce que Lotte Reiniger a d'abord réalisé des films en Allemagne mais a fini sa carrière en Angleterre, où elle avait fui le nazisme.

Parce que c'est le dernier film que Lotte Reiniger a tourné à Berlin, où elle avait été obligée de retourner à fin de la Seconde Guerre mondiale.

Parce que Lotte Reiniger prend des libertés avec la célèbre fable de Jean de La Fontaine, à commencer par la cigale qui est devenue une sauterelle.

Comme plusieurs films de Lotte Reiniger, celui-ci existe en deux versions : une première réalisée en Allemagne en 1935 et une seconde en Angleterre vingt ans plus tard.

Parce que la première adaptation cinématographique du Chat botté date de 1903 (réalisée par Ferdinand Zecca). De nombreuses autres ont suivi.

Parce qu'en 1961 (7 ans après ce film de 1954), Lotte Reiniger en réalisera une version en couleurs, mais plus courte.

Parce que les meilleures comédies de boulevard sont celles qui, derrière les rires, porte un regard moderne sur les moeurs.

Parce qu'on ne sait jamais comment respecter à la lettre les principes d'une religion qui disent tout et son contraire, au risque de déplaire à Dieu !

Parce que cette adaptation libre du roman de la Comtesse de Ségur est le premier film de Jacqueline Audry, l'une des très rares réalisatrices des années 1940.

Parce que le film avait totalement disparu, après une semaine d'exclusivité en 1963!

Parce que cette histoire de trouble dans le genre tenait à coeur du réalisateur-scénariste-interprète Ed Wood, qui lui-même aimait porter des vêtements féminins, surtout des pulls angora..

Parce que Marianne Faithfull et Alain Delon sont réunis.

Parce que ce film marque la rencontre de deux grands noms de l'horreur. Argento et Romero, à l'ombre de l'éternel Edgar Poe.

Parce que Caltiki, le monstre immortel est un fort beau fleuron de la série B italienne.

Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67

Parce que pour la première fois, un film adaptait San Antonio, il aura peu de descendance

Parce que des grands noms d'Hollywood sont ici réunis pour louer le génie d'Alfred Hitchcock.

Parce que le film est composé de quatre histoires, trois tirées d'Edgar Allan Poe et une de Thomas De Quincey.

Parce que le film est de Truffaut puis de Godard (qui a fait la bande son)

Parce que Jean- Luc Godard y double Belmondo, la sensation est étrange!