Les plus vus

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce que le film réunit de nombreux témoignages de victimes et permet de mieux comprendre comment Harvey Weinstein pouvait avoir une telle emprise sur son entourage.

Parce que les films de Bigelow ont toujours suivi la courbe des combats dans la société américaine. Que ce soit le duel pour la virilité (Point break), la guérilla urbaine dans une société futuriste (Strange days), les guerres américaines (Démineurs, Zero

Parce que le film demeure le plus gros succès en salles pour un documentaire non animalier.

Parce que pour la première fois, un grand musée ouvrait ses coulisses à des caméras.

Parce que tournage sur place a pris six mois, alors qu'on a l'impression que le film se déroule en 24 heures.

Parce que Nicolas Philibert n'imaginait pas, au départ, que son film comporterait autant de personnages.

Parce que le film revient trente ans plus tard dans l'endroit même où René Allio avait tourné son célèbre "Moi, Pierre Rivière..."

Parce que le film a été tourné au long cours entre 1991 et 1994, durant les travaux de réouverture de la grande galerie de Zoologie de Paris.

Parce que les quatre intervenants de ce documentaire n'ont aucun mal à nous convaincre de l'importance majeure de l’oeuvre de Sacha Guitry.

Parce que Jean-Stéphane Bron a passé plus de deux mois en compagnie de Christoph Blocher, sans pour autant partager ses idées.

Parce que cette suite d'images éblouissantes donne l'impression au spectateur qu'il voyage dans l'espace.

Ce doc permet de revoir quelques grands moments de la filmographie de De Palma et d'en obtenir les explications...

Parce que les films de Bigelow ont toujours suivi la courbe des combats dans la société américaine. Que ce soit le duel pour la virilité (Point break), la guérilla urbaine dans une société futuriste (Strange days), les guerres américaines (Démineurs, Zero

Parce que le film réunit de nombreux témoignages de victimes et permet de mieux comprendre comment Harvey Weinstein pouvait avoir une telle emprise sur son entourage.

Parce que c'est l'occasion d'en savoir un peu plus sur la vie et l’oeuvre de Léos Carax, artiste discret, pour ne pas dire mystérieux.

Parce que le film de Bogdanovich Et tout le monde riait, parle surtout de Dorothy Stratten

Parce que ce documentaire lève le voile sur un moment essentiel mais méconnu de l'histoire du cinéma français.

Parce qu'il s'agit d'un devoir de mémoire, celle d'un événement qui s'est déroulé sous la dictature de Pinochet, unissant Chiliens et Italiens.

Parce que ce documentaire engagé basé sur la pensée de Naomi Klein a été tourné pendant une période quatre ans, sur cinq continents et dans neuf pays.

Parce que tous les interprètes jouent leur propre rôle et ont été choisis par le réalisateur durant des castings sauvages.

Parce que ce film rappelle que Melvin Van Peebles, bourlingueur et artiste à la petite semaine, fut à l'origine d'un mouvement politico-culturel considérable : la blaxploitation.

Parce que la compositrice Béatrice Thiriet et le réalisateur Jérôme Diamant-Berger avaient déjà travaillé ensemble sur la mise en musique des films réalisés par Henri Diamant-Berger, le grand-père de Jérôme.

Parce que Claire Simon filme au plus près l'émergence d'un projet un peu fou et sa totale réussite contre vents et marées.

Parce que chez les Diamant-Berger, le cinéma est une affaire de famille.

Parce que des grands noms d'Hollywood sont ici réunis pour louer le génie d'Alfred Hitchcock.

Jean-Baptiste Thoret fait entendre à la fois la voix des Américains anonymes et celle de cinéastes comme Michael Mann, Paul Schrader, Peter Bogdanovich, Tobe Hooper, Jerry Schatzberg, entre autres.