Les plus vus

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que l'immense Belmondo fait ses cascades lui-même !

Parce qu’il ne faut jamais se fier aux apparences, surtout lorsque l’on finit captif d’une tribu perdue au fin fond de la forêt amazonienne.

Parce qu'il s'agit de l'un des plus grands films de gangster français.

Parce que c'est l'un des films les plus étranges et les plus passionnants de Cronenberg !

Parce que Donald Sutherland n’a jamais été aussi drôle et touchant que dans cet immense classique signé Robert Altman.

Parce que, pour son premier film, Ridley Scott cherche à retrouver la lumière du Kubrick de Barry Lyndon

Parce que ce classique de Steven Spielberg fut salué dès sa sortie par des anciens combattants affirmant que la reconstitution très réaliste du débarquement de Normandie est l'un des points forts du film.

Parce qu’Ingmar Bergman filme Ingrid Bergman pour la première et unique fois et lui offre un rôle puissant face à Liv Ullman.

Parce que non seulement le film de Scola ne vieillit pas (il est classique), mais son actualité s’épanouit (il est moderne).

Parce que le film de Melville a influencé aussi bien John Woo que Jarmusch et Winding Refn

Parce que le DJ Bob Sinclar a choisi son nom en référence à Belmondo dans le film.

Parce que l'immense Belmondo fait ses cascades lui-même !

Parce que c'est le quatrième plus gros succès du box-office français 1979.

Parce que c'est le face à face au sommet entre les deux plus grandes stars françaises, Belmondo et Delon.

Parce qu'il y a la seule rencontre Belmondo Resnais.

Parce que Belmondo en escroc minable y débite du Michel Audiard à un rythme de mitraillette: « Comme je dis toujours, pour la musique militaire, il y a les allemands mais pour les opéras, les rois, c'’est les italiens »

Parce que le personnel du train utilisé dans le film s'est déplacé spécialement pour celui-ci.

Parce qu'il s'agit de l'un des plus grands films de gangster français.

Parce que Trintignant est terrifiant quand il joue  les ennemis publics n°1.

Parce que Delon y cite Paul Valery ("la société a deux ennemis, le désordre et l'ordre")

Parce que le titre original en italien,"la première nuit de quiétude", renvoyait à Goethe.

Pour Delon et Gabin bien sûr, mais aussi Depardieu dans une de ses premières apparitions.

Parce que le souvenir du gang des tractions avant (et pour Delon frisé !).

Parce que c'est un film tourné très loin (au Pérou) sans trucages et ça se remarque!

Parce que c'est l'Italie des années 70. Quand une milliardaire américaine invite à jouer aux cartes les nécessiteux d’un bidonville romain. Quand ceux-ci se mettent à gagner.

Parce que non seulement le film de Scola ne vieillit pas (il est classique), mais son actualité s’épanouit (il est moderne).

Parce qu’Ingmar Bergman filme Ingrid Bergman pour la première et unique fois et lui offre un rôle puissant face à Liv Ullman.

Parce que, pour son premier film, Ridley Scott cherche à retrouver la lumière du Kubrick de Barry Lyndon

Parce que Turin y est vedette à part entière, comme Mastroianni, Trintignant et Bisset.

Parce que le portrait d'une figure singulière de la littérature suédoise est aussi un pamphlet féministe enflammé.

Parce que c'est l'un des films les plus étranges et les plus passionnants de Cronenberg !

Parce que le tournage du film en Louisiane ne fut pas une mince affaire et que ça se sent !

Parce que le film est le dernier très grand de Richard Fleischer, glaçant aussi

Parce que ce classique de Steven Spielberg fut salué dès sa sortie par des anciens combattants affirmant que la reconstitution très réaliste du débarquement de Normandie est l'un des points forts du film.

Parce que Donald Sutherland n’a jamais été aussi drôle et touchant que dans cet immense classique signé Robert Altman.

Parce que le film de Ted Kotcheff avec Donald Pleasence est rien de moins que l'un des immenses classiques de l'épouvante.

Parce que George C Scott a remporté l'Oscar pour son rôle de général mais l'a refusé.

Parce que la rencontre entre Paul Newman et Tom Cruise orchestrée par Martin Scorsese reste un sacré coup de billard à trois bandes.

Parce que Jean-Loup Hubert a su capter l’âme de nos souvenirs d’enfance et confier au tandem Anémone-Richard Bohringer une exquise partition.

Parce ce film culte (et inédit en France) offre une vision crue, âpre et réaliste de la consommation de drogue chez les ados dans l'Espagne des années 80.

Parce que cette suite directe du premier El Pico reprend les mêmes personnages déchus pour un nouvel opus, encore plus violent et plus provoquant.

Parce que Patricia Highsmith, l'auteur du roman fut étonnée de voir ses personnages incarnés par Depardieu et Miou Miou

Parce qu'on réalise tout à la fin, que le film ne comporte en fait que quatre personnages.

Parce que Patrick Dewaere en moniteur de colonie (et Michel Blanc dans son 2ème rôle).

Parce que cette satire de la télévision italienne, réalisée collectivement par les plus grands spécialistes de la comédie, n'a rien perdu de sa pertinence ni de son mordant.

Parce que cette comédie italienne, aussi romantique que cruelle, offre une satire dé-capante du machisme.

Parce qu'au-delà de son récit autant comique que poignant, ce film choral longtemps resté inédit en France offre une vision extraordinaire de Milan.

Parce qu'il faut voir le regard aussi acerbe sans concession d'une réalisatrice sur les années mussoliniennes de l'Italie.

Parce que le réalisateur signait 1 an plus tôt le fameux "N'oublie pas ton père au vestiaire".

Parce qu'une confrontation Sim / Jacques Balutin / Daniel Prévost ne se refuse pas.

Parce que l’un des jeunes pompiers a un « sixième sens » qui consiste à voir les filles nues, même lorsqu’elles sont habillées !

Parce que le réalisateur Georges Lautner et le scénariste Francis Veber se sont inspirés de la déferlante du cinéma pornographique américain ("Gorge profonde" et "Derrière la porte verte" en 1972).

Parce que Paul Préboist y joue face à Georges "Arsène Lupin" Descrière.

Parce que Maurice Risch y succède à Paul Préboist, on peut parler de diptyque!

Parce que les Martin Circus - ici vedettes ! - apparaissaient déjà dans Les Bidasses en folie

Parce que pour la première fois, un film adaptait San Antonio, il aura peu de descendance

Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67

Pour y apprendre que D'Artagnan a eu un fils qui ressemblait à Michel Leeb, du moins ici

Parce qu'on peut assister aux débuts d'un tout jeune Jean Reno, face à des vedettes confirmées comme Jean-Pierre Marielle, Darry Cowl et Daniel Prévost.

Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.

Parce que pour les Charlots, le film succédait au Retour des bidasses en folie

Parce que derrière l’accumulation des corps se trouve le récit progressiste d’un cinéaste prônant la liberté, en pleine période franquisme, d’intolérance et de répression.

Parce que ce Cluedo à l’ambiance gothique entremêle joyeusement les genres.

Parce que David Croneberg a écrit son film aprés un divorce douloureux, ça se sent!

Parce que le plan final a été réalisé avec du latex, de la viande pour chiens et des foies de lapin

Parce qu’il ne faut jamais se fier aux apparences, surtout lorsque l’on finit captif d’une tribu perdue au fin fond de la forêt amazonienne.

Parce qu’avec son rythme haletant et ses situations cocasses, c’est la première fois au cinéma que la mort vous poursuit en courant.

Parce que ce film célèbre le sexe et l'amour avec bonne humeur en compagnie de jeunes actrices délurées.

Parce que cette série B d'horreur efficace, pur produit du cinéma d'exploitation américain des années 70/80, est restée culte pour les multiples apparitions sanglantes de créatures au look de mini-méduses voraces.

Parce que les effets stop motion du film évoquent ceux de Ray Harryhausen.

Parce que c'est le premier volet d'une trilogie (dotée d'une B.O synthé est très années 80).

Parce que Terminator en version série B italienne dans les eighties est forcément une bonne nouvelle.

Parce que la présence de Gérard Jugnot jette un pont (ou plutôt un viaduc) entre la bande ces Charlots et celle du Splendid.

Parce que ce film d'espionnage, qui fait la part belle à son personnage féminin, a été le grand vainqueur de la 7e cérémonie des Golden Horse (les Oscars taïwanais).

Parce que le personnage du Baron de Münchausen, héroïque mythomane, a également inspiré des films de Josef von Báky (1943), Karel Zeman (1962) et Terry Gilliam (1988).

Parce que l’acte de naissance de la star Arnold Schwarzenegger s’est fait dans un film fondateur de la fantasy.

Parce que Robin Williams a reçu le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical en 1988 pour ce rôle.

Parce que c’est une satire jouissive du film de mafia multirécompensée aux Golden Globes et aux Oscars.

Parce que ce chef d'oeuvre est l'une des plus belles et impressionnantes oeuvre de David Cronenberg.

Parce que ce film culte, véritable hymne à la jeunesse, a été une leçon de vie pour des générations de spectateurs.

Parce que les scènes du hall d'accueil des bureaux ont été tournées dans une des Twin Towers.

Parce que ce classique de la comédie américaine a défini les codes du teen movie.

Parce qu'il fait partie des 45 films recommandés par le Vatican (ainsi que par le festival de Cannes puisqu'il a obtenu la Palme d'Or).

Parce que ce film oublié fait partie des perles méconnues du western spaghetti et est sans aucun doute l'un des meilleurs de la veine comique.

Parce qu'en n'étant ni une parodie ni un pastiche, ce western spaghetti aussi drôle que beau célèbre ce que le genre a de purement mythologique.

Parce que la musique de Gianni Ferrio (qui a composé entre autres, la musique du Dollar troué) va vous rester dans la tête pendant longtemps.

Parce que ce western engagé marque la rencontre entre le réalisateur de L’homme qui rétrécit et l’une des icônes de la Blaxploitation.

Parce que c'est une oeuvre de science-fiction délirante, absurde, sexuelle, déviante, hilarante !

Parce que les représentants en parapluie y deviennent peintre.

Parce que le film de Jacques Rouffio n'était que le 7e d'Isabelle Adjani

Parce que c'est une oeuvre aussi méconnue que bouleversante sur la vie d'une femme dans une France qui n'existe plus.

Parce que la chanson du générique de fin est interprétée par Charles Aznavour.

Parce que Maurice Ronet joue un parachutiste assassin, rôle qu'il tenait déjà une quinzaine d'année plus tôt dans "Ascenseur pour l’échafaud" de Louis Malle.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que c'est le second des deux films réalisés par Gérard Brach, scénariste entre autre pour Jean-Jacques Annaud, Claude Berri et Roman Polanski (qui lui a rendu la pareille en participant à l'écriture).

Parce que ce fut le dernier rôle au cinéma du toujours élégant Paul Meurisse.

Parce que la cupidité des dirigeants d’entreprise n’est pas nouvelle. La preuve, le cinéma en parlait déjà en 1978. Plus Serrault, Brasseur, Trintignant, Deneuve, plus le prix Louis Delluc et le César du meilleur film.

Parce que pour la première fois, Coluche, en triste pompiste, n'y faisait pas rire

Parce que Clint Eastwood y effectue toutes ses cascades, y compris une chute de 300m.

Parce que Clint Eastwood signe un suspense haletant dont la trame a inspiré de nombreux autres cinéastes après lui. Ce thriller n'a rien perdu de son potentiel inquiétant.

Parce que Clint Eastwood, parce que Morricone, et parce que ces deux là font toujours des étincelles.

Parce que le film, le préféré de son réalisateur Don Siegel, faillit être interprété par Jeanne Moreau.

Parce que le scénario de ce western est signé Elmore Leonard, un romancier à l'origine d'histoires aussi différentes que "3h10 pour Yuma" et "Jackie Brown".

Parce que le film fut le seul d'Eastwood réalisateur sans Clint acteur jusqu'en 1988.

Parce que c’est un incontournable du cinéma d’arts martiaux asiatique.

Parce qu’il n’y a pas que dans “Roadhouse” que les gorges des adversaires sont réduites en compote.

Parce qu’il n'y a pas vilain plus vilain que Vitali, le méchant joué par Helmut Berger.

Parce que le cinéma urbain allemand des années 80 pouvait rivaliser avec les séries B américaines badass.