Film des années 2010

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Parce que L’Amour est une fête montre les derniers instants de grâce du milieu du porno en France, avant l’apparition du Sida.

Parce que des compagnies japonaises ont refusé de travailler sur les séquences d'animation du film, en raison de sujets (le mal-être adolescent et le suicide) trop sensibles dans leur pays.

Parce que l'animation japonaise confirme que les thèmes de prime abord les plus sombres peuvent nourrir des films lumineux et solaires...

Parce que le talent incomparable de l'acteur Alex Lutz, brillant interprète d'un chanteur de variété désabusé autrefois populaire, est aujourd'hui dépassé.

Parce que les mystères abondent dans ce film qui multiplie les apparitions comme les disparitions avec gourmandise et malice.

Parce que le film a été tourné rapidement et presque sans budget car la réalisatrice tenait absolument à filmer la jeune actrice Lisa Moell avant qu'elle ne soit devenue trop grande pour le rôle.

Parce qu'on ne sait jamais ce qui peut ressurgir du passé trouble que votre tendre moitié vous a toujours caché, surtout lorsque vous êtes seule, au milieu de nulle part...

Parce que c'est peut-être bien l'un des meilleurs rôles de la grande Isabelle Adjani.

Parce que ce film est basé sur un texte de seulement 25 pages, ce qui amené le réalisateur à collaborer au scénario avec l'auteur de la nouvelle pour en développer l'histoire.

Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que ce film ravira tous les amateurs et toutes les amatrices de chevaux et de bons sentiments.

Parce que la fine fleur du cinéma italien réunie devant la caméra d'un cinéaste jamais aussi à l'aise qu'avec un film choral...

Parce que Come as you are se base sur un best-seller de fiction, qui lui repose sur une réalité, les camps de rééducation chrétiens sensés guérir les homos de leurs sexualité.

Parce que ce film d'animation émouvant aborde les thèmes de la vieillesse et de la maladie d'une façon accessible aux plus jeunes.

Parce que ce premier film indépendant qui décrit le parcours d'un homme et d'un adolescent liés par un secret trouve un équilibre très juste entre malaise et mystère.

Parce que c'est une comédie douce-amère sur la maternité et la place de la femme.

Parce que c'est le premier film hollywoodien qui romance sur une passion amoureuse homosexuelle adolescente.

Parce que c'est un film d'animation qui s'engage pour la défense des droits des femmes afghanes.

Parce que le concept est tenu jusqu’au bout: le film est quasiment muet, tout en étant parfaitement terrifiant !

Parce que Rachel Weisz et Rachel McAdams excellent dans ce film qui entend bien briser les tabous et les interdits.

Parce que cette adaptation du roman graphique "I Kill Giants" pose un regard bouleversant sur l'adolescence et ses traumatismes.

Parce que c'est l'adaptation pop et rythmée d'une bande dessinée à succès.

Parce que No Dormiras risque fort de tenir sa promesse et vous empêcher de dormir...

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que c’est le troisième film du réalisateur Drake Doremus à être projeté au Sundance Film Festival, preuve d’un vrai regard et d’un talent hors norme.

Parce que la fin du film montre des images des footballeuses du Stade Rémois, dont l'aventure bien réelle a nourri le scénario du film.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce qu’alors qu’on pensait que Wes Anderson n’avait plus rien à prouver, il arrive encore à nous surprendre avec ce bijou d’animation.

Parce que fans des premiers dessins animés de Disney, les cinéastes s'inspirent de l'esthétique de ces films pour proposer un conte moderne sur des thèmes tels que le désir sexuel et la métamorphose du corps.

Parce que c'est le combat d’un jeune homme qui cherche à se reconstruire et le premier rôle d'Anthony Bajon (Chien de la casse).

Parce que le fossé n’a jamais été aussi grand entre le passé et le présent, le rêve et la réalité, le but et les moyens pour cet acteur argentin qui essaie de percer à New York où il a trop d’accent pour jouer un blanc, et où il est trop blanc pour jouer

Parce que malgré une crise qui dure depuis trentre ans, et malgré son manque de moyens, le cinéma italien voit ici émerger un nouvel auteur.

Parce que le film marque en 5 minutes la rencontre entre l'opéra et les danses urbaines

Parce que c'est le cinquième épisode de la saga des Ours Boonie, qui en compte de nombreux autres.

Parce que c'est le Nikita sud-coréen !

Parce que c'est un témoignage bouleversant sur le sevrage d'une drogue qui a marqué les esprits dans les années 1990

Parce que le cinéaste Mahamat-Saleh Haroun a également été ministre de la culture du Tchad entre 2017 et 2018.

Parce que la ville interlope d'Hambourg était le décor tout désigné pour cette série noire allemande.

Parce que le film oh combien atypique pourrait qualifié de road movie improvisé

Parce que ce thriller politique élégant a pour vedette Ricardo Darín, l’acteur argentin que tout le cinéma hispanophone s’arrache (à raison).

Parce que ce film, conçu comme une enquête, suit la piste de Franck, ami et comédien disparu depuis sa conversion à l'Islam, que le réalisateur tente de retrouver et filmer avec humanité.

Parce que c'est l'adaptation raffinée du roman de Chantal Thomas sur l’arrangement imaginé par le Régent de France pour neutraliser l’Espagne.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que le personnage de Papa Moll, créé en 1952, est très populaire en Suisse

Parce que cette version restaurée du film de 1964 donne à voir le mime Marceau et son art, avec le Paris de son époque pour terrain de jeu.

Parce que Karin Viard finit par être touchante dans la peau d'une femme que l'on voudrait dans un premier temps gifler tant elle est odieuse.

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que le Printemps arabe a fait fleurir des films puissants comme La Belle et la Meute.

Parce que pour les paysages fabuleux des montagnes du Tyrol.

Parce que la fête tourne au vinaigre dès le premier plan !

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que le film est tourné à 2 caméras pour capturer aux mieux les enfants d'une classe

Parce que le tutu, c'est loin d'être démodé

Parce que dans ce film d’horreur érotique pas comme les autres, une créature extraterrestre tentaculaire procure des orgasmes mortels.

Parce que le cinéma iranien continue de surprendre le monde par la liberté et sans doute les risques pris par ses réalisateurs pour évoquer sans fard les sujets les plus polémiques...

Parce qu'entre vérité et fiction, c'est une plongée immersive et dérangeante chez les Raëliens.

Parce que l'intrigue mêle comédie et drame avec une touche de légèreté et d'originalité.

Parce que c'est le dernier opus de Jeanne Labrune à ce jour, un changement de cap, un film que l'on devine d'une sensibilité écorchée, qui nous va droit au coeur.

Parce que Sofia Coppola livre le point de vue féminin dans une histoire déjà virilement traitée par Don Siegel et Clint Eastwood.