MARADONA PAR KUSTURICA en VOD
- De
- 2008
- 93 mn
Disponible avec les tickets À LA CARTE
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ACHETER dès 7.99€
Pour profiter d'une réflexion sur le foot avant que l'euro 2012 vienne la saturer
Fan de football et grand admirateur de Diego Armando Maradona, le réalisateur Emir Kustirica dresse le portrait très humain d'une légende vivante.
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- Documentaire
- Espagne | France
- Tous publics
- VO - HD
Réalisé par
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Maradona par Kusturica n’est pas un documentaire sportif. A vrai dire, il y est à peine question de football ! Non, le sujet d’Emir Kusturica, réalisateur multi récompensé, c’est ce miroir à double face que constituent l’homme derrière la légende et la légende derrière l’homme.
Le film relève donc moins du portrait nostalgique sur la star déchue que d’un véritable pamphlet politique et social sur un homme qui a su transformer sa notoriété en outils de communication, pour ne pas dire de propagande, dans sa croisade anticapitaliste en général et anti-Bush en particulier. Se gardant bien d’adhérer ouvertement aux idées du footballeur militant, le réalisateur de Pap est en voyage d'affaires et Chat noir, chat blanc fait donc mine de respecter l’objectivité que lui impose sa position et se contente de faire des ponts entre les différents épisodes de la vie de Maradona et certains piliers de sa filmographie.
Au final, se dégage l’impression d’assister à la rencontre de deux artistes dont l’orgueil n’a sûrement d’égal que le talent et qui, bien qu’ils semblent s’en défendre, sont chacun pétris d’admiration encore plus que de respect l’un pour l’autre. Le jeu de dupe ne dure toutefois qu’un temps, et Maradona par Kusturica finit par s’imposer comme une romance qui ne dit pas son nom !
Le film relève donc moins du portrait nostalgique sur la star déchue que d’un véritable pamphlet politique et social sur un homme qui a su transformer sa notoriété en outils de communication, pour ne pas dire de propagande, dans sa croisade anticapitaliste en général et anti-Bush en particulier. Se gardant bien d’adhérer ouvertement aux idées du footballeur militant, le réalisateur de Pap est en voyage d'affaires et Chat noir, chat blanc fait donc mine de respecter l’objectivité que lui impose sa position et se contente de faire des ponts entre les différents épisodes de la vie de Maradona et certains piliers de sa filmographie.
Au final, se dégage l’impression d’assister à la rencontre de deux artistes dont l’orgueil n’a sûrement d’égal que le talent et qui, bien qu’ils semblent s’en défendre, sont chacun pétris d’admiration encore plus que de respect l’un pour l’autre. Le jeu de dupe ne dure toutefois qu’un temps, et Maradona par Kusturica finit par s’imposer comme une romance qui ne dit pas son nom !
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