AVERROÈS & ROSA PARKS

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Parce que, après la péniche hôpital de Sur l'Adamant, Nicolas Philibert pose cette fois-ci sa caméra à l'hôpital Esquirol, autrefois nommé "asile de Charenton".

Parce que Averroès et Rosa Parks sont les deux unités psychiatriques d'Esquirol, nommées ainsi en référence à un savant arabe et à une icône américaine des droits civiques.

Parce que Nicolas Philibert a pris le temps de s'entretenir avec les patients avant de les filmer : le réalisateur connait et respecte les personnes qui sont devant sa caméra.

Parce que le film dure près de  deux heures et demi, ce qui laisse largement le temps de s'immerger dans la vie quotidienne de l'hôpital, d'apprendre à connaitre les patients et les thérapeutes.

Deuxième volet de la trilogie du documentariste sur le monde de la psychiatrie, Averroès & Rosa Parks succède au décevant Sur l'Adamant, sorti il y a tout juste un an.Ce nouveau documentaire est précédé sur les écrans d'une bande-annonce pour le troisième et ...

Panneau central du triptyque qu’il consacre à la psychiatrie et qui renoue avec l’univers de fascination déjà approché en 1997 dans le génial La Moindre des choses, Averroès et Rosa Parks (2024) permet à Nicolas Philibert d’entrer dans le dur de la psychiatrie, ...

Second volet du triptyque de Nicolas Philibert sur les institutions psychiatriques publiques, cet Averoes et Rosa Parks est plus ample (ne serait-ce que par sa durée) et plus apre que Sur L'Adamant.Nous sommes ici au coeur d'un refuge pour des patients dont les troubles ...