LE ROUGE DE CHINE en VOD
- De
- 1979
- 72 mn
Disponible avec les tickets À LA CARTE
LOUER dès 2.99€
Pour un type d'expérience radicale que seules les années 70 permettaient
Cinq personnages vivent dans un château. J. déambule entre les tombes d'un cimetière, B. astique régulièrement des armes, C. est en quête d'aventures amoureuses, A. se promène à cheval, F. joue de la batterie. Quelques-uns de leurs moments de vie, des rencontres, leurs amours, leurs états d'âme...
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- Drame
- France
- Tous publics
- VF
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Le Rouge de Chine est un film pas comme les autres. Il est sûrement le seul à mentionner à son générique que « les comédiens sont habillés par le Secours catholique ».
Plus sérieusement, cette réalisation de 1977 revendique une écriture bien particulière. Principalement en noir et blanc, sonorisée mais non dialoguée elle met en scène cinq personnages dans une atmosphère romantique. L’un erre entre les tombes d’un cimetière, l’autre nourrit l’obsession des armes, un autre encore fait de la musique...
La caméra nous fait passer d’un château en Ecosse à une ballade en mer en passant par Paris tandis que la bande son nous fait entendre la voix d’Antonin Artaud tirée d’une émission de radio, mais aussi des compositions de Satie, de Debussy ou des musiques populaires angolaises. « C’est d’une certaine manière un retour au cinéma muet, à la poésie des images, à leur « innocence ».
Il s’agissait surtout pour moi de montrer les gens et les situations, non de raconter une histoire, une anecdote. », explique Jacques Richard qui signait alors son deuxième long métrage. Il a ensuite réalisé, entre autres, Rebelote avec Jean-Pierre Léaud ou Ave Maria avec Anna Karina et Isabelle Pasco. « Peut-on faire un film sur le cinéma, qui n’invente à chaque plan le cinéma A », s’interrogeait-il à l’époque.
Plus sérieusement, cette réalisation de 1977 revendique une écriture bien particulière. Principalement en noir et blanc, sonorisée mais non dialoguée elle met en scène cinq personnages dans une atmosphère romantique. L’un erre entre les tombes d’un cimetière, l’autre nourrit l’obsession des armes, un autre encore fait de la musique...
La caméra nous fait passer d’un château en Ecosse à une ballade en mer en passant par Paris tandis que la bande son nous fait entendre la voix d’Antonin Artaud tirée d’une émission de radio, mais aussi des compositions de Satie, de Debussy ou des musiques populaires angolaises. « C’est d’une certaine manière un retour au cinéma muet, à la poésie des images, à leur « innocence ».
Il s’agissait surtout pour moi de montrer les gens et les situations, non de raconter une histoire, une anecdote. », explique Jacques Richard qui signait alors son deuxième long métrage. Il a ensuite réalisé, entre autres, Rebelote avec Jean-Pierre Léaud ou Ave Maria avec Anna Karina et Isabelle Pasco. « Peut-on faire un film sur le cinéma, qui n’invente à chaque plan le cinéma A », s’interrogeait-il à l’époque.
Dans le même genre vous pouvez trouver LIMITE (Ce film de Mario Peixoto centre sur trois personnages à la derive, fait la part belle aux images aquatiques. Il est accompagne egalement de musiques de Satie et de Debussy (entre autres)) ou encore THE ARTIST (Un autre film muet en noir et blanc, hommage au cinema des annees 1920.).