JEAN DE FLORETTE (VERSION RESTAURÉE) en VOD
- De
- 1986
- 117 mn
- Drame
- Suisse | Italie
- Tous publics
- VF - HD
Réalisé par
Avec
- Daniel Auteuil
- Elisabeth Depardieu
- Ernestine Mazurowna
- Gérard Depardieu
- Yves Montand
- André Dupon
- Armand Meffre
- Benedetto Bertino
- Chantal Liennel
- Christian Tamisier
- Clement Cal
- Didier Pain
- Fransined
- Jean Maurel
- Jo Doumerg
- Marc Betton
- Marcel Berbert
- Marcel Champel
- Margarita Lozano
- Pierre Nougaro
- Pierre-Jean Rippert
- Roger Souza
1 MIN AVANT
Claude Berri a 50 ans lorsqu’en avril 1985 il donne le premier tour de manivelle de Jean de Florette et de Manon des sources, deux films tournés en même temps durant 32 semaines, du côté d’Aubagne et pour un budget de 110 millions de francs.
Première adaptation française d’une œuvre de Marcel Pagnol en couleur, Jean de Florette raconte le rêve d’un citadin bossu et idéaliste, Jean Cadoret – dit Jean de Florette (Gérard Depardieu) –, venu s’installer sur un pauvre lopin de terre provençale hérité de sa mère afin d’y faire fortune en « cultivant l’authentique ». Alors que l’eau lui manque cruellement, il ignore qu’une source est à portée de main, sur son propre terrain. Ses voisins, le Papet (Yves Montand) et son neveu Ugolin (Daniel Auteuil), n’ignorent rien de cette source. C’est même eux qui l’ont bouchée, afin de pouvoir, un jour, racheter la parcelle à vil prix !
Sorti fin août 1986 et annoncé comme l’événement cinématographique de la rentrée, Jean de Florette attirera dans la garrigue plus de 7 millions de spectateurs. Quelques mois plus tard, il permettra à Daniel Auteuil de remporter son premier César, avant d’empocher le BAFTA du meilleur acteur, récompense britannique qui, le même soir, désigna Jean de Florette, meilleur film de l’année, face à Cry Freedom de Richard Attenborough, Hope and Glory de John Boorman et Radio Days de Woody Allen.
Dans le même genre vous pouvez trouver LA FILLE DU PUISATIER (2011) (25 ans après son rôle d’Ugolin, Daniel Auteuil retourna au pays de Pagnol, comme interprète et comme réalisateur.) ou encore LA GLOIRE DE MON PÈRE (1990) (Quatre ans après Claude Berri, Yves Robert adaptera les mémoires de l’immortel : la Gloire de mon père et le Château de ma mère.).