MAMMA MIA ! HERE WE GO AGAIN

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En 2008, le premier film Mamma Mia ! a été un énorme succès. Au niveau mondial, il a remporté 12 fois ce qu’il avait coûté et s’est parfois hissé, comme en Angleterre, au sommet du box office national, dépassant même Titanic.

Il faut dire que la comédie musicale qui l’a inspiré était née à Londres en avril 1999 et avait déjà réuni plus de 30 millions de spectateurs dans 170 pays avant de cartonner au cinéma. En France, plus d’un million et demi de personnes sont allées voir le film.

Avec toutes ces bonnes ondes, un Mamma Mia 2 était plus qu’attendu. Il a toutefois fallu dix ans pour que ce nouvel opus soit finalement programmé en salle pour l’été 2018 avec  un positionnement inattendu. En effet, Mamma Mia ! Here we go again a pour double mission d’être un prequel et un sequel du premier épisode, c’est à-dire qu’il raconte à la fois ce qui s’est passé avant et après le numéro 1.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver MAMMA MIA! (Parce que ce deuxième opus est totalement inspiré du premier Mamma Mia! dont il reprend les acteurs et quelques chansons) ou encore LOVE ACTUALLY (Une comédie anglaise qui mélange romantisme et énergie, le tout interprété par la crème des acteurs de l'époque).

Comment est-ce possible ? Par un tour de passe-passe scénaristique plutôt habile. Sophie revient en Grèce après cinq ans d’absence. Donna a disparu il y a un an et Sophie se met au défi de réaliser à nouveau ce qui fut le projet de vie de sa mère. Mais, à la veille de l’inauguration, elle sent la tension monter. Et si tous les habitués du premier épisode ont accepté de venir l’aider, c’est aussi pour elle l’occasion de comprendre comment et pourquoi sa mère a débarqué 30 ans plus tôt sur cette île paradisiaque et s’y est installée pour toujours.

Mamma Mia ! Here we go again multiplie donc les allers retours entre aujourd’hui et hier pour tenter de reconstruire l’histoire de Donna. Jeune étudiante originale, elle a quitté son Angleterre natale pour Paris, puis a poursuivi l’aventure jusqu’en Grèce. En chemin, elle a rencontré de manière concomitante trois jeunes hommes qu’elle a tous séduits et qui pourraient tous être le père de Sophie. Eux ont poursuivi leur route. Donna est finalement restée dans cette masure grecque qu’on lui avait confiée, qu’elle a arrangée pour en faire un hôtel et où est née Sophie.

Aujourd’hui, celle-ci reprend le flambeau et a convié tous les amis de Donna pour l’inauguration qu’elle veut festive. La musique sera signée ABBA et comprendra des tubes du premier film et d’autres inédits. Leur enregistrement a été supervisé par les compositeurs historiques du groupe qui ont parfois changé quelques paroles pour mieux coller au scénario.

Côté talents, Mama Mia 2 a dû trouver un nouveau réalisateur. C’est le britannique Ol Parker qui a été choisi. En France, il est à peine connu pour son premier film Imagine me and you. En revanche, la plupart des acteurs du premier film ont accepté cette suite : Amanda Seyfried, Pierce Brosnan, Colin Firth, Stellan Skarsgard, Julie Walters, Christine Baranski ou Dominic Cooper. Et Meryl Streep ? Le suspense est entier, Elle est interprétée jeune par la talentueuse et énergique anglaise Lily James. Sinon, et c’est une autre surprise Cher et Andy Garcia sont aussi conviés à la fête. Allez ! On les remet ces plate-forme shoes ?

Tant me dure d'un jour assister à une séance karaoké/ 'sing along' (chantons avec) qui sera aussi fun qu'avec le premier. Sauf que là, c'est en plus, un 'vrai' film, moins artificiel (jusqu'à l'arrivée de Cher…) Nb : "Mama Mia! virago again"; j'ai récemment découvert ...

Une fois, je me souviens, j'avais forcé une ex à regarder Mamma Mia sur la TNT le jour de son anniversaire... Un souvenir glorieux ! Et là j'ai eu cette pulsion soudaine de renouer avec le Meryl Streep Cinematic Universe et de voir cette suite acclamée... Donc cette fois (je ...

Qu'on se le dise bien, un visionnage de Mamma Mia, 1 ou 2, peut s'apparenter autant à un rêve éveillé pour les fans de Abba qu'à un cauchemar rose bonbon pour les réfractaires. Le juste milieu n'existe pas. Heureusement pour moi, je suis de la première catégorie. Preuve ...