LE GRAND RESTAURANT en VOD
- De
- 1966
- 84 mn



Monsieur Septime dirige d’une main de fer son restaurant cinq étoiles sur les Champs Elysées. Au menu, les meilleures spécialités de la gastronomie française et, parmi les invités, les grands de ce monde comme Novalès, le président d’un pays d’Amérique du Sud. Au moment du dessert, lors de la mise à feu de la pièce montée, le président est enlevé. Accusé de complicité...
- Comédie
- France
- Tous publics
- VF - HD
1 MIN AVANT
En février 1965, lorsqu’il tourne le Grand restaurant de Jacques Besnard, Louis de Funès est une valeur sûre du cinéma français. Après son rôle très remarqué d’épicier du marché noir dans la Traversée de Paris de Claude Autant-Lara en 1956, le succès de Pouic-Pouic, signé Jean Girault en 1963, fait de lui un comédien connu et reconnu. Dix films plus tard, dont trois "Gendarmes" et deux "Fantômas", il devient véritablement une vedette. Sorti pendant le tournage du Grand restaurant, Le Corniaud de Gérard Oury allait en faire une star.
Il est, ici, Monsieur Septime, le directeur d’un luxueux restaurant des Champs-Élysées, aussi obséquieux avec ses clients que méprisant avec ses employés et bientôt mêlé à l’enlèvement d’un chef d’Etat sud-américain, incarné par l’italien Folco Lulli ! C’est Jean Halain qui imagina le scénario du Grand restaurant, avec la collaboration de Jacques Besnard et de Louis de Funès qui, pour la première fois de sa carrière, participe officiellement à l’écriture de l’un de ses films.
Voici donc le Grand restaurant, dans la salle et les cuisines duquel vous rencontrerez Bernard Blier en commissaire machiavélique, Noël Roquevert en ministre bien embêté et une ribambelle d’inoubliables seconds rôles, parmi lesquels : Robert Dalban, Jacques Legras, Paul Préboist, Pierre Tornade et même, à 16 ans, Olivier de Funès, le fils cadet de son père, en mitron bien mal embouché.
Dans le même genre vous pouvez trouver L'AILE OU LA CUISSE (10 ans après Le grand restaurant, de Funès interprète à nouveau un défenseur de la grande cuisine. Aidé de son fils Coluche, il lutte contre la nourriture industrielle.) ou encore LA VALISE (Une parodie de film d'espionnage signée Georges Lautner. Le réalisateur des Tontons flingueurs s'inspire avec humour et tendresse du conflit israélo-palestinien.).