LE CERVEAU en VOD
- De
- 1969
- 110 mn
Alors que le cerveau du célèbre hold-up Glasgow-Londres, le colonel Carol Matthews, imagine son prochain coup, un petit voyou parisien, Arthur Lespinasse, a la même idée que lui : l’attaque du train transportant les fonds secrets de l’OTAN de Paris à Bruxelles. Alors que le colonel anglais met ses puissants moyens et sa rigoureuse intelligence au service de son projet, Arthur...
- Comédie
- France | Italie
- Tous publics
- VF - HD
1 MIN AVANT
En juillet 1968, tout auréolé de l’historique succès de la Grande Vadrouille – 14 millions d’entrée en deux ans – et avec quelques semaines de retard pour cause d’événements restés fameux, Gérard Oury entame le tournage de sa nouvelle comédie, le Cerveau. Contrairement aux rumeurs qui entouraient ce nouveau projet, il ne s’agira pas de la version humoristique de l’attaque du train Glasgow-Londres, qui avait défrayé la chronique durant l’été 1963, mais sa suite.
Gérard Oury imagine, en effet, que le cerveau de cet historique hold-up, toujours en liberté à l’époque du tournage – il ne se rendra qu’en 2001 –, organise un nouveau coup : l’attaque du train transportant les fonds secret de l’OTAN entre Paris et Bruxelles. Ce que le Cerveau, alias David Niven, ignore, c’est qu’un petit voyou sans envergure nommé Arthur Lespinasse, alias Jean-Paul Belmondo, a eu la même idée et qu’en compagnie de son brave copain Anatole, alias Bourvil, il a décidé de passer à l’action.
Face à ce trio de choc et dans le rôle d’un irascible mafieux sicilien, vous allez retrouver Eli Wallach, deux ans après le Bon, la Brute et le Truand, flanqué d’une petite sœur particulièrement photogénique, incarnée par la débutante Silvia Monti, que le critique du Canard enchaîné trouva « jolie, sexy et roulée au poil » !
Dans le même genre vous pouvez trouver LE PIGEON (1958) (C’est le coffre du Mont-de-Piété qui est visé. Peppe (Vittorio Gassman) et ses complices ne sont pas loin de toucher au but, eux aussi, mais...) ou encore LE PACHA (1968) (Comme le Cerveau, Quinquin (André Pousse) décide de s’attribuer les deux milliards que transporte le train Bâle-Bruxelles. Mais c’est un piège !).