L'ENFANT DU PARADIS

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Parce que l'histoire du film s'inspire de la vie d'un autre acteur, ami de Salim Kechiouche : Yasmine Belmadi, décédé accidentellement après le tournage du film Adieu Gary, dont il paratageait l'affiche avec Jean-Pierre Bacri.

Parce que le titre est une référence aux Enfants du paradis (1945) ; ce n'est donc pas par hasard sur le premier rôle féminin s'appelle Garance, comme le personnage d'Arletty dans le chef-d'oeuvre de Marcel Carné.

Parce que Salim Kechiouche, acteur et réalisateur, a puisé dans ses archives personnelles pour y trouver les vidéos et films de famille que l'on voit dans le film.

Parce que, comme dans les films de son mentor Kechiche, Salim Kechiouche entremèle fiction et réalité au point que des scènes très écrites et répétées donnent l'impression d'avoir été improvisées.

Très beau film aux personnages profonds et touchants. Aussi bien écrits que bien joués. On y voit la dureté de la vie de pauvre (celle des banlieues ici en l’occurrence) et surtout qu'elle ne les quitte jamais même avec l’ascension sociale (mauvaises rencontres qui ...

Toujours en silence , toujours en distance , mais toujours là, debout parmi nous . Salim Kechiouche est une œuvre d’art discrète , sensible , il a tout osé et on parle trop peu de lui . On a vu tous ses films . On les a tous aimés. Mais là il nous époustoufle… Merci, ...

Magnifique! Dans cette autofiction, Kechiouche y a mis ses tripes, et ça se sent. Devant et derrière la caméra, il assure une mise en scène et un jeu d’acteur magistral. Ses comédien.nes nous bouleversent de complicité et de justesse.Le film impressionne aussi par ses touches ...