LE CONTE DE LA PRINCESSE KAGUYA

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Un vieux paysan découvre à l’intérieur d'une tige de bambou un bébé de la taille d'un pouce et décide de le recueillir. L’enfant grandit rapidement et devient une belle jeune femme que l’on appelle Kaguya.

Kaguya s’épanouie dans la nature et devient amie avec Sutemaru, un jeune paysan. Mais le coupeur de bambou décide d’emmener sa fille à la ville, pour l’éduquer et la faire vivre dans le luxe.

Kaguya dépérit loin de la forêt mais sa beauté attire cinq prétendants se battent pour obtenir ses faveurs. S'ils veulent l'épouser, ils doivent relever les défis qu'elle leur impose.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver LE SERPENT BLANC (Adapté d'une légende chinoise, ce film est le premier long métrage en couleur de l'histoire de l'animation japonaise. Il date de 1958 et a fortement inspiré Isao Takahata et Hayao Miyazaki.) ou encore LA PRINCESSE DE LA LUNE (En 1987, le réalisateur Kon Ichikawa réalise cette autre version de l'histoire de la princesse Kaguya, qui est le plus ancien texte en prose japonais. Toshiro Mifune interprète le rôle du coupeur de bambou.).

Quand il n’a plus rien à prouver, le génie se trouve face à un choix : approfondir dans la même veine, ou tout remettre en jeu. Isao Takahata opte aujourd’hui pour cette dernière alternative, à travers un dessin entièrement renouvelé, détonnant fortement par rapport ...

Isao Takahata réalise avec Kaguya-hime no monogatari une merveille visuelle. S'appuyant sur le meilleur des techniques d'animation dernier cri, son équipe accouche d'un défilé époustouflant d'images formant une estampe mouvante, infinie, où la finesse de chaque pétale de ...

On ne le dira jamais assez, mais il existe une synergie avec les films GHIBLI. Une sorte d'osmose devant laquelle on peut tous rester ébahi sans l'avoir été pour les mêmes raisons, sans avoir été interpellé par les mêmes effets visuels. Une interprétation ouverte dans ...