LA LOI DU SILENCE en VOD
- De
- 1953
- 91 mn
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Pour l'apparition traditionelle d'Hitchcock qui intervient au tout début du film dans les escaliers
Otto Keller tue le propriétaire d'une maison qui le surprend en train de commettre un cambriolage chez lui. Keller prend la fuite dans la nuit et se rend dans une église où il confesse au Père Logan son meurtre. Otto Keller confie également son crime à sa femme Alma. L'enquête s'oriente sur le Père Logan et les soupçons de la police viennent se porter sur le Père Logan qui se voit...
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- Policier / Suspense
- Etats-Unis
- Tous publics
- VM - HD
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Elevé chez les Jésuites, catholique convaincu, Alfred Hitchcock a peu abordé la religion dans ses films et, à cet égard, La Loi du silence occupe une place à part dans sa filmographie. Le personnage principal est ici un prêtre et le suspense repose sur la confrontation entre la justice des hommes et la loi religieuse.
Le scénario est tiré de Nos deux consciences, une pièce française écrite en 1902 par Paul Anthelme et que François Truffaut qualifiait de « mauvaise ». Quoi qu’il en soit, son sujet avait suffisamment marqué Hitchcock qui l’avait vue sur scène en Angleterre au début des années 30 pour qu’il la porte à l’écran vingt ans après. L’histoire de ce curé refusant de trahir le secret de la confession même quand il se voit accusé lui-même du meurtre rejoint les thèmes favoris du cinéaste : la culpabilité, l’innocent accusé... Confié successivement à plusieurs auteurs, le scénario a connu de très nombreuses versions avant qu’un dénouement satisfaisant soit trouvé.
Les toutes premières ébauches furent d’ailleurs le fait de l’épouse du réalisateur, Alma. Et qu’un des personnages majeurs du film porte ce prénom n’est sans doute pas un hasard...
Le scénario est tiré de Nos deux consciences, une pièce française écrite en 1902 par Paul Anthelme et que François Truffaut qualifiait de « mauvaise ». Quoi qu’il en soit, son sujet avait suffisamment marqué Hitchcock qui l’avait vue sur scène en Angleterre au début des années 30 pour qu’il la porte à l’écran vingt ans après. L’histoire de ce curé refusant de trahir le secret de la confession même quand il se voit accusé lui-même du meurtre rejoint les thèmes favoris du cinéaste : la culpabilité, l’innocent accusé... Confié successivement à plusieurs auteurs, le scénario a connu de très nombreuses versions avant qu’un dénouement satisfaisant soit trouvé.
Les toutes premières ébauches furent d’ailleurs le fait de l’épouse du réalisateur, Alma. Et qu’un des personnages majeurs du film porte ce prénom n’est sans doute pas un hasard...
Dans le même genre vous pouvez trouver LE FAUX COUPABLE ou encore LE CONFESSIONNAL .