ASSASSINS en VOD
- De
- 1995
- 127 mn
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Parce qu'on y entend qu'un seul coup de feu tiré sans silencieux
Consciencieux et expérimenté, Robert Rath est un tueur professionnel qui envisage de prendre sa retraite lorsque, au cours d’un contrat, il se fait mystérieusement griller par un concurrent. Celui-ci , Miguel Bain, est un jeune tueur ambitieux et sans scrupules, bien décidé à prendre la place du vétéran. Au cours d’un ultime contrat qui consiste à éliminer une informaticienne ...
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- Policier / Suspense
- Etats-Unis
- Tous publics
- VM
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
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1 MIN AVANT
Sorti un an avant Bound, Assasins est le premier film écrit par Andy et Larry Washowski, qui par la suite se rendront célèbres avec Matrix. Les frères, qui n’ont pas encore trouvé leur registre, rendent simplement hommage au thriller d’action en opposant un tueur à gages vieillissant (Sylvester Stallone) , à un prétendant plus jeune (Antonio Banderas) qui veut prendre sa place. Un élément perturbateur vient fausser le jeu, c’est une informaticienne jouée par Julianne Moore, qui va aider Stallone à déjouer le piège qui lui est tendu.
Fidèle à son habitude, le producteur Joel Siver a rassemblé l’équipe la plus efficace possible pour faire fonctionner le projet, qui en l’occurrence n’a pas d’autre ambition que de cartonner au box office. Richard Donner, réalisateur de L’arme fatale, assure comme un bon mercenaire, en insistant sur la brutalité des scènes d’action (avant tout, c’est quand même un film de tueurs professionnels). Pour accentuer le contraste entre les deux antagonistes, les dialogues de Stallone sont réduits au minium, tandis que Banderas a les coudées franches pour exprimer son sens de l’humour et son tempérament latin. Le tout sous l’œil de Vilmos Szigmond, le directeur de la photo de John Mc Cabe, Delivrance, Rencontes du 3e type, et Voyage au bout de l’enfer, ce qui n’est quand même pas rien.
Fidèle à son habitude, le producteur Joel Siver a rassemblé l’équipe la plus efficace possible pour faire fonctionner le projet, qui en l’occurrence n’a pas d’autre ambition que de cartonner au box office. Richard Donner, réalisateur de L’arme fatale, assure comme un bon mercenaire, en insistant sur la brutalité des scènes d’action (avant tout, c’est quand même un film de tueurs professionnels). Pour accentuer le contraste entre les deux antagonistes, les dialogues de Stallone sont réduits au minium, tandis que Banderas a les coudées franches pour exprimer son sens de l’humour et son tempérament latin. Le tout sous l’œil de Vilmos Szigmond, le directeur de la photo de John Mc Cabe, Delivrance, Rencontes du 3e type, et Voyage au bout de l’enfer, ce qui n’est quand même pas rien.
Dans le même genre vous pouvez trouver LE SPÉCIALISTE ou encore LE FLINGUEUR .