L’œuvre de Cédric Klapisch est encore brève - 11 longs métrage en un peu moins de 25 ans – elle n’est pas moins marquante, et d’ailleurs elle a marqué : L’Auberge espagnole fait en effet partie de ces films qui au-delà de leurs qualités propres, ont marqué une génération qui, ici s’est retrouvé dans le parcours de Xavier, Martine, Isabelle, Wendy... Des personnages qui après un passage du côté de Saint Petersbourg dans les Poupées russe, sont réunis pour une nouvelle chronique, Casse-tête chinois, avec cette fois Manhattan pour décor, un Manhattan que Cédric Klapisch connaît bien pour y avoir fait jadis ses études de cinéma.