ROGER ET MOI en VOD
- De
- 1990
- 90 mn
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Parce que c'est le film de Michael Moore avec la scène du lapin...
En 1989, la General Motors décide la fermeture de ses usines de Flint, soit 35 000 salariés qui se retrouvent au chômage. Jusque-là journaliste de presse écrite, Michael Moore, natif de Flint, tente avec sa caméra de rencontrer à plusieurs reprises le PDG de GM. Tout en multipliant les tentatives infructueuses, il dresse le portrait d'une ville et de ses habitants confrontés à l...
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- Documentaire
- Etats-Unis
- Tous publics
- VM
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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En 1989, Michael Moore, natif de Flint, ville berceau de General Motors soit à l’époque la plus grande entreprise du monde, tente d’interroger Roger Smith, le PDG de ce géant industriel pour lui faire justifier sa décision de licencier une grande partie de ses ouvriers. Tel est le point de départ du documentaire Roger et moi réalisé par l’enfant terrible du cinéma documentaire américain et grand amateur d’enquêtes en forme de réquisitoires.
Mais il s’agissait là de son premier documentaire : journaliste venu de la presse écrite, il apprend donc sur le tas les techniques proprement cinématographiques avec l’aide du documentariste Kevin Rafferty. Et pour son entrée dans la carrière, Moore dispose d’une équipe réduite et d’un budget restreint. Pour financer son film, il va même jusqu’à investir dans la production ses indemnités de licenciement et ses gains à la loterie, tout en hypothéquant ses biens.
Durant plus de trois ans, Michael Moore filme ainsi ses vaines tentatives pour rencontrer le fameux PDG aussi bien que ses rencontres avec des habitants de Flint touchés de plein fouet par le déclin de cette mono-industrie qui délocalise sa production sans états d’âme particuliers. Même Ronald Reagan s’en mêle qui veut convaincre que la seule voix de salut, c’est le départ pur et simple. Tout est bon pour la caméra de Moore qui entend bien dénoncer la responsabilité des puissants, patrons et hommes politiques confondus.
Mais il s’agissait là de son premier documentaire : journaliste venu de la presse écrite, il apprend donc sur le tas les techniques proprement cinématographiques avec l’aide du documentariste Kevin Rafferty. Et pour son entrée dans la carrière, Moore dispose d’une équipe réduite et d’un budget restreint. Pour financer son film, il va même jusqu’à investir dans la production ses indemnités de licenciement et ses gains à la loterie, tout en hypothéquant ses biens.
Durant plus de trois ans, Michael Moore filme ainsi ses vaines tentatives pour rencontrer le fameux PDG aussi bien que ses rencontres avec des habitants de Flint touchés de plein fouet par le déclin de cette mono-industrie qui délocalise sa production sans états d’âme particuliers. Même Ronald Reagan s’en mêle qui veut convaincre que la seule voix de salut, c’est le départ pur et simple. Tout est bon pour la caméra de Moore qui entend bien dénoncer la responsabilité des puissants, patrons et hommes politiques confondus.
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