Film des années 1970

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Parce qu'en n'étant ni une parodie ni un pastiche, ce western spaghetti aussi drôle que beau célèbre ce que le genre a de purement mythologique.

Parce que le DJ Bob Sinclar a choisi son nom en référence à Belmondo dans le film.

Pour Delon et Gabin bien sûr, mais aussi Depardieu dans une de ses premières apparitions.

Parce que derrière l’accumulation des corps se trouve le récit progressiste d’un cinéaste prônant la liberté, en pleine période franquisme, d’intolérance et de répression.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que "Le sang des autres" est aussi le titre d'un roman de Simone de Beauvoir (adapté au cinéma par Claude Chabrol, avec Jodie Foster et Sam Neill), ce qui n'a rien à voir avec cette histoire de momie.

Parce que le film est également connu sous le titre "Les Chiennes" et que ce terme ne désigne pas ici des animaux.

Parce que le film fait écho, à sa manière, à la libération sexuelle entamée dans les années 60.

Parce qu'il n'y a pas de docteur Hitchcock dans le film, mais cela ne se fait jamais de mal de se référer au grand Alfred lorsqu'on réalise un thriller.

Parce que ce drame sensuel est l'unique long métrage réalisé par Alain Lavalle, qui fit par ailleurs une carrière à la télévision et comme assistant-réalisateur.

Parce que ce film compte parmi les titres phares de l'âge d'or du giallo, genre populaire en Italie dans les années 1970, qui conjugue suspense horrifique et érotisme.

Parce que ce film est procession ahurissante d'images sado-maso trempées dans les couleurs psychédéliques du chef opérateur Ugo Brunelli.

Parce que Christopher Lee y considère son rôle comme un des meilleurs de sa carrière.

Parce que le titre original en italien,"la première nuit de quiétude", renvoyait à Goethe.

Parce que le scénario de ce western est signé Elmore Leonard, un romancier à l'origine d'histoires aussi différentes que "3h10 pour Yuma" et "Jackie Brown".

Parce que ce film oublié fait partie des perles méconnues du western spaghetti et est sans aucun doute l'un des meilleurs de la veine comique.

Parce que cette comédie italienne, aussi romantique que cruelle, offre une satire dé-capante du machisme.

Parce que la chanson du générique de fin est interprétée par Charles Aznavour.

Parce que Clint Eastwood signe un suspense haletant dont la trame a inspiré de nombreux autres cinéastes après lui. Ce thriller n'a rien perdu de son potentiel inquiétant.

Parce qu'il s'agit de l'un des plus grands films de gangster français.

Parce que le film, le préféré de son réalisateur Don Siegel, faillit être interprété par Jeanne Moreau.

Parce que le film de Ted Kotcheff avec Donald Pleasence est rien de moins que l'un des immenses classiques de l'épouvante.

Parce que c'est le second des deux films réalisés par Gérard Brach, scénariste entre autre pour Jean-Jacques Annaud, Claude Berri et Roman Polanski (qui lui a rendu la pareille en participant à l'écriture).

Parce que le film a bien été tourné sur les côtes vénézueliennes.

Parce que ce troisième et dernier court métrage réalisé par Claude Miller a été interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en raison de son antimilitarisme.

Parce que c'est le seul film en prises de vue réelles de Jean-François Laguionie, grand cinéaste d'animation.

Parce que c'est l'adaptation cinématographique de la célébrissime série "Le Manège enchanté".

Parce que c'est une oeuvre documentée sur le handicap et le concept de résilience face à la société.

Parce que Sydney Pollack décide d’aborder les conséquences dramatiques de la grande dépression des années 30 par le biais d’un banal concours de danse comme il en existait tant à travers l’Amérique.

Parce que ce film érotique s'inspire d'un texte méconnu du grand romancier Honoré de Balzac.

Parce que Clint Eastwood, parce que Morricone, et parce que ces deux là font toujours des étincelles.

Parce qu’il faut toujours des salopards pour gagner une guerre !

Parce que c'est le face à face au sommet entre les deux plus grandes stars françaises, Belmondo et Delon.

Parce que Maurice Ronet joue un parachutiste assassin, rôle qu'il tenait déjà une quinzaine d'année plus tôt dans "Ascenseur pour l’échafaud" de Louis Malle.

Parce que Donald Sutherland n’a jamais été aussi drôle et touchant que dans cet immense classique signé Robert Altman.

Parce que George C Scott a remporté l'Oscar pour son rôle de général mais l'a refusé.

Parce que c'est sans doute l'unique film érotique où l'on cite Hegel, Camus, Baudelaire, Trotski, Shakespeare et quelques autres du même acabit.

Parce que ce drame érotique est aussi connu sous le titre "Les liaisons particulières".

Parce que Jean Image disait que le langage du dessin animée est universel.

Parce que ce court documentaire nous révèle les techniques de la pionnière du cinéma d'animation Lotte Reiniger.