La ronde des drapeaux du cinéma coquin repart pour une nouvelle session autour du monde, avec des escales en France bien sûr, mais aussi en Italie, aux Etats unis, en Suède ou en Japon. Une fois de plus, les classiques de l’érotisme répondent à des films contemporains et le plus fameux nudie américain (mais pourquoi Frankenstein intervient-il dans le titre français ?) y côtoie les ultimes fantasmes de Tinto Brass. On y connaît le nom de José Bénazéraf mais moins celui de Daiske Goto à l’inspiration pour le moins insolite : n’a-t-il pas tourné un film sur une aveugle qui va tomber amoureuse de la voix d’un ventriloque ?