Laurent Bouhnik a récemment fait parler de lui en commentant publiquement, l’un après l’autre, les différents films soumis aux votes des Césars, nous redonnant ainsi envie de nous replonger dans sa filmographie, une filmographie déjà riche de 6 longs métrages ainsi que de plusieurs courts. Une filmographie aussi qui se caractérise certes par la diversité – une adaptation de Stéphane Zweig y côtoie la description d’une prostituée dans un hôtel sordide ! – mais aussi par le mouvement, l’excès, un certain dynamisme vital et une rage de filmer quand on sait que chaque film est important.