THE LAST DAY en VOD
- De
- 2010
- 116 mn
Les habitants d’Haeundae, citée balnéaire de Corée du sud, mènent leur vie sans savoir qu'un danger les menace. Malgré des signes annonciateurs préoccupants, les autorités refusent d’évacuer les côtes. De plus en plus violentes, les alertes ne laissent plus de place au doute : un cataclysme d’une ampleur inégalée menace tout le pays...
- Aventure / Action
- Corée du Sud
- Tous publics
1 MIN AVANT
Non Roland Emmerich n’a pas le monopole du film catastrophe ! Certes avec Le jour d’après et 2012, ce réalisateur allemand est probablement le recordman de la destruction d’immeubles et de monuments historiques par raz de marée, tempêtes et autres tremblements de terre. Pour autant il n’est pas le seul à s’intéresser aux catastrophes écologiques. Ainsi en Corée du Sud, pays dont la cinématographie s’est imposée au reste du monde ces dernières années, Yun Je-gyun a réalisé en 2009, The last day. L’histoire des habitants d’Haeundae, une ville au bord de l’océan, qui ne savent pas qu’ils vivent leurs dernières heures car une succession de séismes sous-marins va provoquer un tsunami d’une ampleur inégalée qui va ravager le pays.
Ville d’Haeundae, Corée, printemps 2008. Malgré des signes annonciateurs préoccupants, les autorités refusent d’évacuer les côtes, menacées par des séismes sous-marins susceptibles de provoquer un tsunami. De plus en plus violentes, les alertes ne laissent plus de place au doute : un cataclysme d’une ampleur inégalée menace tout le pays...
A la manière de son compatriote Bong Joon-ho qui, avec The host, pervertissait le genre film de monstre en réalisant en fait un drame familial, JK Youn se sert du prétexte catastrophe pour une comédie sociale autour d’un village de pécheurs au bord de la faillite. Avec en plus des histoires d’amour parallèles. Mais ne vous y trompez pas pour autant. Si Youn favorise les rapports humains, là où les autres réalisateurs du genre se contentent de scènes d’exposition, il n’en délaisse pas pour autant les séquences avec effets spéciaux. Et l’engloutissement final de la ville par le tsunami est tout aussi impressionnant que l’était celui de New York dans Le jour d’après… Désolé Roland !
Dans le même genre vous pouvez trouver 2012 ou encore LE JOUR D'APRÈS .