Ces raretés et perles noires ont comme un goût des années 80. Les réalisateurs de cette génération se sont approprié les classiques du fantastique et y ont ajouté leurs propres références générationnelles comme les cartoons (Sam Raimi pour Evil Dead 2) ou les clips vidéo (Russell Mulcahy pour Razorback). Une nouvelle esthétique, plus rapide, plus efficace, plus fluide qui inspire encore des œuvres récentes du genre.
Les années 80 encore avec l’avènement de l’ère Stephen King (Shining, Christine, Cujo, Stand by me... ) ici représenté par le méconnu Peur Bleue.