Dans le PPF (Paysage Pornographique Français) d'aujourd'hui, Yannick Perrin fait figure d'exception. Sa singularité réside dans le fait qu'il fait du X « à l'ancienne ». Loin de l'auteurisme, du gonzo, du porno-réalité ou du hard extrême, il trace sa route en écrivant des scénarios cohérents et en peaufinant des dialogues cocasses.
Ce réalisateur qui vient du film institutionnel prend le risque de faire jouer et parler des acteurs à qui on demande rarement de faire autre chose que des performances sexuelles. Avec un net penchant pour la comédie, il s'amuse à mettre ses personnages dans des situations parfois extravagantes où les scènes de sexe sont rarement gratuites.
Ce réalisateur qui vient du film institutionnel prend le risque de faire jouer et parler des acteurs à qui on demande rarement de faire autre chose que des performances sexuelles. Avec un net penchant pour la comédie, il s'amuse à mettre ses personnages dans des situations parfois extravagantes où les scènes de sexe sont rarement gratuites.