ANACONDA, LE PRÉDATEUR en VOD
- De
- 1997
- 86 mn
Avec l’anthropologue Steven Cale, une équipe de cinéma menée par Terri Flores, la réalisatrice, remonte un affluent de l’Amazone à la recherche de la légendaire tribu des Shirishamas. En chemin, ils font la connaissance du sympathique Paul Serone, un solitaire qui, en plus de bien connaître la forêt amazonienne, prétend être un spécialiste des Shirishamas. L’équipe se remet...
- Fantastique / Horreur
- Etats-Unis | Brésil | pérou
- - 10 ans
1 MIN AVANT
« Anaconda : Non masculin. Grand serpent de l’Amérique du Sud, voisin des boas, se nourrissant d’oiseaux et de mammifères. Longueur : 8 mètres ; sous-ordre des ophidiens. » Telle est la définition rédigée par les auteurs d’un célèbre petit dictionnaire illustré qui, à l’évidence, n’avaient pas encore vu Anaconda, le prédateur. Vous qui allez voir ce film, vous allez découvrir que les dictionnaires ne disent pas tout !
Anaconda, le prédateur se présente comme le making-of d’un documentaire scientifique, mené par un anthropologue des plus compétents, flanqué d’une équipe de cinéma des plus motivée : caméraman, ingénieur du son, réalisatrice. Pour ce documentaire, consacré à la légendaire tribu des Shirishamas, ils ont entrepris de remonter un affluent de l’Amazone. Ce faisant, ils font la connaissance d’un homme solitaire, mystérieux mais sympathique, justement spécialiste des Shirishamas. Avouez que le hasard fait bien les choses !
Je ne vous en dis pas plus. Car, allez savoir, les apparences sont quelquefois trompeuses ! Et si Anaconda, le prédateur n’était pas le making-of d’un documentaire scientifique, mais bien un film d’horreur hollywoodien, déconseillé aux moins de 12 ans et réalisé en 1997 par le Péruvien Luis Llosa ? Et si l’inconnu, spécialiste des Shirishamas, n’était autre que Jon Voight dans le rôle d’un chasseur d’anaconda – ce qui expliquerait le titre ! – et si, enfin, la réalisatrice du documentaire, qui ressemble trait pour trait à Jennifer Lopez, n’était autre que... Jennifer Lopez !?
Dans le même genre vous pouvez trouver PIRANHAS (1978) (Il n’y a pas que les serpents qui soient carnivores...) ou encore AGUIRRE, LA COLÈRE DE DIEU (1975) (Autre balade amazonienne mais, cette fois, il s’agit de découvrir l’Eldorado. Rien que ça !).