THE PARTY CRASHER

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Il n’y a pas à dire, les adolescents font de la bonne chair à film d’horreur. Les exemples ne manquent pas dans l’histoire du cinéma, et The party crasher (Haunting on Fraternity Row) de Brant Sersen vient s’ajouter à la longue liste des films de genre « adoléthal ».

Haunting on Fraternity Row, c’est l’histoire d’une fraternité universitaire qui s’apprête à organiser sa dernière fête dans la maison qui l’abrite sur le campus. Mais quand les membres de cette fraternité commencent à mourir de façon horrible, ils comprennent qu’un démon a possédé la maison…

Après Sanatorium, film d’horreur qui se déroulait… dans un sanatorium, Brant Sersen a donc violemment planté sa caméra dans ce que les américains appellent une frat house. Il y a lâché une bande de jeunes acteurs aux noms exotiques tel que Jacob Artist, Cameron Moulène, Stephanie Honoré ou Melissa Saint-Amand. Lesquels passent plus de temps à mourir qu’à vivre à l’écran…

 
Dans le même genre vous pouvez trouver THE DETAINED (La version horreur de "Breakfast club") ou encore AMERICAN COLLEGE (La version potache).

Les démons, monstres et autres serial killers aiment les espaces clos. C’est du moins ce que l’on nous a montré au cinéma. Prenez le monstre d’Alien. Il fait tranquillement son carnage à bord du Nostromo, cet imposant vaisseau spatial où nul, sauf Ripley, ne peut lui échapper.

Le nombre de cabane ou de maison transformées au cinéma en lieu d’horreur est impressionnant : de Amityville la maison du diable à La cabane dans les bois, en passant par Hostel, le Bates motel de Psychose ou l’Hôtel Overlook de Shining, tous ces lieux sont devenus des scènes de crimes cinématographiques.

Les scénaristes hollywoodiens on même poussé le vice jusqu’à créer des huis clos en plein air, souvent dans des forêts où ils perdent leurs personnages pour le plus grand frisson des spectateurs. Rappelez-vous le Projet Blairwitch. Ou plutôt non. Vous risqueriez de faire des cauchemars…