LE LABYRINTHE DE PAN en VOD
- De
- 2006
- 114 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que Guillermo del Toro propose un intelligent mariage entre l'Histoire et le fantastique (et a reçu 3 Oscars !)
Espagne 1944. Ofelia, une fillette dont la mère vient de se remarier avec un capitaine de l’armée franquiste, emménage dans une maison retirée dans la forêt. Alors que son beau-père traque avec violence la résistance républicaine toute proche, la petite découvre un labyrinthe et des créatures magiques qui l’entraînent dans un monde fantastique.
Ce film n’est pas disponible
- Drame
- Espagne | Mexique | Etats-Unis
- - 10 ans
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Guillermo Del Toro aime à raconter que ses sept premières années furent les plus malheureuses de sa vie. C'est pourtant dès son plus jeune âge qu'il s'est plongé dans la lecture effrénée de comics.
Plus tard, devenu court-métragiste et collaborateur des ténors du cinéma mexicain des années 80 (Ripstein, Leduc, Carrera ou Hermosillo), il intègre les figures de super-héros de son enfance à l'univers fantasmagorique et macabre mexicain, et se constitue un monde unique, peuplé de fantômes, de monstres et de décors fantastiques.
Son parcours est, lui aussi, hors normes, alternant films commerciaux tournés en anglais comme Hellboy ou Blade 2 avec des œuvres plus intimistes (en espagnol) comme Cronos ou L'échine du diable. Le Labyrinthe de Pan offre, d'une certaine manière, un point de convergence entre ces deux carrières.
Grand oublié de la compétition cannoise en 2006, il ne le fut ni des Bafta, ni des Goya, ni des Oscars, où Le Labyrinthe était le premier film en langue étrangère à remporter 3 statuettes (dont celle de la meilleure photo).
Plongez-vous avec Del Toro dans les horreurs de la Guerre Civile espagnole qui lui avait déjà inspiré L'échine du diable. Bon film.
Plus tard, devenu court-métragiste et collaborateur des ténors du cinéma mexicain des années 80 (Ripstein, Leduc, Carrera ou Hermosillo), il intègre les figures de super-héros de son enfance à l'univers fantasmagorique et macabre mexicain, et se constitue un monde unique, peuplé de fantômes, de monstres et de décors fantastiques.
Son parcours est, lui aussi, hors normes, alternant films commerciaux tournés en anglais comme Hellboy ou Blade 2 avec des œuvres plus intimistes (en espagnol) comme Cronos ou L'échine du diable. Le Labyrinthe de Pan offre, d'une certaine manière, un point de convergence entre ces deux carrières.
Grand oublié de la compétition cannoise en 2006, il ne le fut ni des Bafta, ni des Goya, ni des Oscars, où Le Labyrinthe était le premier film en langue étrangère à remporter 3 statuettes (dont celle de la meilleure photo).
Plongez-vous avec Del Toro dans les horreurs de la Guerre Civile espagnole qui lui avait déjà inspiré L'échine du diable. Bon film.
Dans le même genre vous pouvez trouver L'ESPRIT DE LA RUCHE (VÍCTOR ERICE, 1973) ou encore LAND AND FREEDOM (KEN LOACH, GRANDE-BRETAGNE-1995) .