UN ÉTÉ AVEC MONIKA en VOD
- De
- 1954
- 95 mn
Ce film n’est pas disponible
C’est le film dont Antoine Doinel vole les photos dans les 400 coups. C’est aussi le film qui associera la notion du bonheur à celui d’innocence. Harriett Andersson en marqua plus d’un !
Monika, jeune fille de 17 ans éprise de liberté, quitte ses parents pour vivre une histoire d'amour estival avec Harry, jeune livreur et fils de bourgeois. Après le temps du béguin, Monika et Harry vont être confronté à la dure réalité de la vie.
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- Érotique
- Suède
- Tous publics
1 MIN AVANT
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Certains cinéphages, comme votre serviteur, n’ont jamais trop osé s’approcher de la carrière d’Ingmar Bergman. Tout ça parce qu’il avait l’image d’un cinéaste austère et froid. Voire hyper intello. La faute peut-être à beaucoup de critiques qui ont analysé sa filmographie en insistant à mort sur l’aspect psychanalytique de son oeuvre. Pourtant, quand on regarde Monika et le désir, son douzième film, on s’aperçoit que Bergman était aussi un grand érotomane. Limite pervers le gars !
Car Monika, tout mélodramatique qu’il soit, est un pur film …. comment dire … olé-olé ! En suivant la destinée amoureuse d’une fille de 17 ans qui tombe sous le charme d’un jeune bourgeois avant de le mettre à sa botte, Bergman s’amuse à dresser le portrait d’une vraie garce. Comme Marlène Dietrich dans L’Ange Bleu ou Brigitte Bardot dans Et Dieu créa la femme, la craquante Harriet Anderson interprète une femme fatale qui joue de son corps et de sa séduction en espérant avoir au change une vie de rêve. Alors que nous sommes en 1953, le cinéaste suédois n’hésite pas à jongler avec les bonnes moeurs en filmant subrepticement le corps dénudé de sa craquante actrice qu’il fera tourner sept fois par la suite.
Bien sûr, au-delà de son aspect érotique très prononcé qui pourrait presque le faire passer pour un pur film d’exploitation, Monika est aussi une savante étude de mœurs qui dissèque le temps des premières amours avec beaucoup de poésie, puis le temps du matriarcat et de la vie de famille avec un certain nihilisme.
Car Monika, tout mélodramatique qu’il soit, est un pur film …. comment dire … olé-olé ! En suivant la destinée amoureuse d’une fille de 17 ans qui tombe sous le charme d’un jeune bourgeois avant de le mettre à sa botte, Bergman s’amuse à dresser le portrait d’une vraie garce. Comme Marlène Dietrich dans L’Ange Bleu ou Brigitte Bardot dans Et Dieu créa la femme, la craquante Harriet Anderson interprète une femme fatale qui joue de son corps et de sa séduction en espérant avoir au change une vie de rêve. Alors que nous sommes en 1953, le cinéaste suédois n’hésite pas à jongler avec les bonnes moeurs en filmant subrepticement le corps dénudé de sa craquante actrice qu’il fera tourner sept fois par la suite.
Bien sûr, au-delà de son aspect érotique très prononcé qui pourrait presque le faire passer pour un pur film d’exploitation, Monika est aussi une savante étude de mœurs qui dissèque le temps des premières amours avec beaucoup de poésie, puis le temps du matriarcat et de la vie de famille avec un certain nihilisme.
Dans le même genre vous pouvez trouver UNE VRAIE JEUNE FILLE ou encore ET DIEU CRÉA LA FEMME .