UN BAQUET DE SANG en VOD
- De
- 1970
- 66 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que le film emprunte beaucoup de répliques au Masque de Cire version DeToth
Walter Paisley travaille comme serveur dans un club beatniks. Il rêve de devenir un artiste "beat" pour impressionner la clientèle du bistrot et plus spécialement la jolie Carla, dont il est amoureux. Il s'essaye à la scupture sur argile mais ses oeuvres s'avèrent désastreuses. Enervé par ses échecs répétés, il jette furieusement son couteau de modélisme, tuant par accident un chat...
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- Fantastique / Horreur
- Etats-Unis
- Tous publics
1 MIN AVANT
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Voilà un petit film (à tous les sens du terme) qui s'adresse aux véritables amateurs, aux vrais cinéphiles, ou plutôt aux nanardophiles, ces êtres étranges, dont vous faites certainement partie si vous envisagez de regarder le chef d'œuvre, extrêmement relatif mais absolument nécessaire, qui va suivre dont un des grands moments est le meurtre d'un chat avec un couteau à pain à travers un mur ! C'est (on serait tenté de dire « évidemment ») d'un film de Roger Corman qu'il s'agit, prolifique icône du cinéma fauché (établissant un record à 2 jours et une nuit pour mettre en boîte sa fameuse Petite boutique des horreurs) et qui restera dans l'histoire pour avoir mis le pied à l'étrier, ou plutôt à la caméra, à des petits jeunes nommés Coppola, Scorsese ou Cameron.
Ce Bucket of blood, littéralement «seau de sang» a ainsi été tourné en 5 jours pour 50,000 $ confiés à Corman par American International Pictures pour faire un petit film d'horreur. Mais Corman et son scénariste Charles Burnett, ont décidé de transformer cette histoire de proto serial killer malgré lui, en une comédie, satire de la mode beatnik. D'où ce décor à deux balles, mais impayable, de café branché, peuplé d'artistes lamentables qu'on croirait sortis d'un mauvais western. A sa sortie, en 59, une publicité dans les journaux promettaient une entrée gratuite aux spectateurs qui se présenteraient avec un seau de sang à la caisse… On aimerait que ce genre de blagues soient encore possible.
Ce Bucket of blood, littéralement «seau de sang» a ainsi été tourné en 5 jours pour 50,000 $ confiés à Corman par American International Pictures pour faire un petit film d'horreur. Mais Corman et son scénariste Charles Burnett, ont décidé de transformer cette histoire de proto serial killer malgré lui, en une comédie, satire de la mode beatnik. D'où ce décor à deux balles, mais impayable, de café branché, peuplé d'artistes lamentables qu'on croirait sortis d'un mauvais western. A sa sortie, en 59, une publicité dans les journaux promettaient une entrée gratuite aux spectateurs qui se présenteraient avec un seau de sang à la caisse… On aimerait que ce genre de blagues soient encore possible.
Dans le même genre vous pouvez trouver ARSENIC ET VIEILLES DENTELLES ou encore LE DESOSSEUR DE CADAVRES .