HANSEL ET GRETEL en VOD
- De
- 2008
- 112 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que le film n'a rien à voir avec Grimm, même avec des enfants perdus dans une forêt
Partagé entre sa femme enceinte et sa mère malade, Eun-soo décide d’aller rendre visite à la seconde. En chemin, il perd le contrôle de sa voiture sur la route traversant une forêt profonde. Suite à l’accident, une fillette le réveille et l’accompagne chez elle, où l’attendent ses parents, son grand frère et sa petite sœur. Mais il y a quelque chose qui ne colle pas ...
Ce film n’est pas disponible
- Fantastique / Horreur
- Corée du Sud
- Tous publics
1 MIN AVANT
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LES AVIS SENS CRITIQUE
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Tout d’abord, il importe de préciser que ce Hansel et Gretel n’est pas l’adaptation du conte allemand rendu populaire par les frères Grimm, mais une histoire originale détournant les codes du conte cruel pour enfants. Cela dit, au-delà de son histoire de bambins perdus au cœur d’une forêt profonde, le film de Yim Pil-sung s’impose avant tout pour son imagerie féerique appuyée par une photo et une direction artistique absolument flamboyantes à défaut d’être très subtiles.
Dès les premières minutes du film, le spectateur est en effet emporté dans un ailleurs à la fois merveilleux et inquiétant qu’il ne quittera que presque deux heures plus tard. Dans ce même laps de temps, le paysage aura sensiblement changé, le conte de fée s’étant peu à peu transformé en film d’angoisse, puis en drame familial, le tout saupoudré d’une petite touche de mélo, ingrédient quasi-obligatoire pour toute production coréenne qui se respecte.
Ce mélange des genres, entre innocence et cruauté, rappelle d’autres classiques incontournables, comme Peter Pan – l’adaptation de P.J. Hogan plus que le film d’animation Disney - ou encore le segment de La quatrième dimension – Le film réalisé par Joe Dante. Une sous-intrigue rappelle même le classique La nuit du chasseur de Charles Laughton. Bref, Hansel et Gretel est un film sous influence ; quelque part entre Jean-Pierre Jeunet, pour l’esthétique, et Quentin Tarantino, pour le côté patchwork.
Dès les premières minutes du film, le spectateur est en effet emporté dans un ailleurs à la fois merveilleux et inquiétant qu’il ne quittera que presque deux heures plus tard. Dans ce même laps de temps, le paysage aura sensiblement changé, le conte de fée s’étant peu à peu transformé en film d’angoisse, puis en drame familial, le tout saupoudré d’une petite touche de mélo, ingrédient quasi-obligatoire pour toute production coréenne qui se respecte.
Ce mélange des genres, entre innocence et cruauté, rappelle d’autres classiques incontournables, comme Peter Pan – l’adaptation de P.J. Hogan plus que le film d’animation Disney - ou encore le segment de La quatrième dimension – Le film réalisé par Joe Dante. Une sous-intrigue rappelle même le classique La nuit du chasseur de Charles Laughton. Bref, Hansel et Gretel est un film sous influence ; quelque part entre Jean-Pierre Jeunet, pour l’esthétique, et Quentin Tarantino, pour le côté patchwork.
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